De leur côté, les investisseurs américains semblent apprécier les résultats du sommet, notamment l’engagement de plus d’un millier de milliards de dollars pour soutenir une reprise de l’économie mondiale.
A New York, la bourse a en effet clôturé en forte hausse jeudi soir : une augmentation de 4% qui, selon les observateurs, serait due aux espoirs suscités par l’unité des chefs d’Etat et de gouvernement des 20 pays les plus développés.
Le New York Times note, cependant, que le sommet du G20 n’est sans doute pas la seule raison de l’optimisme de la bourse de Wall Street qui, selon le quotidien, réagissait aussi à une baisse des taux d’intérêt en Europe et à une révision des normes de comptabilité aux Etats-Unis.
“L’étoile d’Obama brille à Londres”, titre cependant le quotidien américain Politico. Ce journal spécialisé dans l’actualité politique estime que Barack Obama a transformé l’essai de sa première participation à un sommet international en coup de maître.
“Barack Obama a maîtrisé le centre de la scène et a monopolisé l’attention, non seulement à l’intérieur de l’enceinte du sommet, mais aussi à travers la ville de Londres, une ville qui n’est pourtant pas facilement impressionnée par les stars”, explique le Politico.
Nouvelle approche diplomatique
Même le Washington Times, le journal républicain de la capitale américaine, considère que la prestation de Barack Obama s’est soldée par “des résultats tangibles”, même si ce quotidien retient surtout l’accord intervenu, en marge du sommet du G-20, entre Barack Obama et son homologue russe en vue de relancer les négociations sur le prochain traité de réduction des armements nucléaires.
Mais sans s’attarder sur la substance économique du sommet du G20 ou sur celle des entretiens bilatéraux de Barack Obama, les medias américains saluent le changement d’approche diplomatique manifesté par le nouveau locataire de la Maison Blanche comparé à son prédécesseur.
“Barack Obama rassure l’Europe”, écrit un chroniqueur du Washington Post, avant d’ajouter que “le président Obama sait que l’Amérique a provoqué la crise mondiale et il fait de son mieux pour réparer cette situation”.
La presse américaine relève que, contrairement à George Bush, Barack Obama a souligné son désir d’écouter ses interlocuteurs étrangers et de faire preuve d’humilité.
“Le contraste est flagrant avec le style diplomatique de l’ancien président Bush”, estime en particulier le Los Angeles Times, un journal démocrate qui, pour une fois, est d’accord avec le journal républicain le Washington Times.
A New York, la bourse a en effet clôturé en forte hausse jeudi soir : une augmentation de 4% qui, selon les observateurs, serait due aux espoirs suscités par l’unité des chefs d’Etat et de gouvernement des 20 pays les plus développés.
Le New York Times note, cependant, que le sommet du G20 n’est sans doute pas la seule raison de l’optimisme de la bourse de Wall Street qui, selon le quotidien, réagissait aussi à une baisse des taux d’intérêt en Europe et à une révision des normes de comptabilité aux Etats-Unis.
“L’étoile d’Obama brille à Londres”, titre cependant le quotidien américain Politico. Ce journal spécialisé dans l’actualité politique estime que Barack Obama a transformé l’essai de sa première participation à un sommet international en coup de maître.
“Barack Obama a maîtrisé le centre de la scène et a monopolisé l’attention, non seulement à l’intérieur de l’enceinte du sommet, mais aussi à travers la ville de Londres, une ville qui n’est pourtant pas facilement impressionnée par les stars”, explique le Politico.
Nouvelle approche diplomatique
Même le Washington Times, le journal républicain de la capitale américaine, considère que la prestation de Barack Obama s’est soldée par “des résultats tangibles”, même si ce quotidien retient surtout l’accord intervenu, en marge du sommet du G-20, entre Barack Obama et son homologue russe en vue de relancer les négociations sur le prochain traité de réduction des armements nucléaires.
Mais sans s’attarder sur la substance économique du sommet du G20 ou sur celle des entretiens bilatéraux de Barack Obama, les medias américains saluent le changement d’approche diplomatique manifesté par le nouveau locataire de la Maison Blanche comparé à son prédécesseur.
“Barack Obama rassure l’Europe”, écrit un chroniqueur du Washington Post, avant d’ajouter que “le président Obama sait que l’Amérique a provoqué la crise mondiale et il fait de son mieux pour réparer cette situation”.
La presse américaine relève que, contrairement à George Bush, Barack Obama a souligné son désir d’écouter ses interlocuteurs étrangers et de faire preuve d’humilité.
“Le contraste est flagrant avec le style diplomatique de l’ancien président Bush”, estime en particulier le Los Angeles Times, un journal démocrate qui, pour une fois, est d’accord avec le journal républicain le Washington Times.