C'est la deuxième fois que cette journaliste, Carine Azzopardi, est convoquée par la police. Début juillet, un autre journaliste de France 3, Joseph Tual, avait également été entendu une deuxième fois.
Dans un communiqué, la CGT (techniciens et journalistes) appelle les salariés de France 3 à "cesser le travail pour accompagner" la journaliste à sa convocation, le 23 juillet de 9h00 à 13h00.
La CGT avait déjà appelé à cesser le travail pour la convocation de Joseph Tual.
Ces convocations font suite à une plainte déposée le 8 juillet 2008 par France 3 pour "vol, recel et contrefaçon" après la diffusion sur internet, en particulier sur Rue89, d'une vidéo montrant Nicolas Sarkozy sur le plateau de la chaîne publique, hors antenne, avant un passage au journal "19/20" le 30 juin 2008.
A la suite de cette plainte, la police avait convoqué et entendu le 1er avril quatre journalistes (deux de France 3 et deux de Rue89, dont le directeur du site, Pierre Haski). Tous étaient ressortis libres, sans être mis en accusation. Ils avaient dénoncé une manoeuvre d'"intimidation" de la police pour révéler leurs sources.
Sur cette vidéo, visionnée à plusieurs centaines de milliers de reprises, M. Sarkozy semblait très mécontent qu'un technicien de France 3 ne lui ait pas rendu son salut avant l'interview. Il avait également demandé au journaliste de France 3 Gérard Leclerc combien de temps il était resté "au placard".
Dans un communiqué, la CGT (techniciens et journalistes) appelle les salariés de France 3 à "cesser le travail pour accompagner" la journaliste à sa convocation, le 23 juillet de 9h00 à 13h00.
La CGT avait déjà appelé à cesser le travail pour la convocation de Joseph Tual.
Ces convocations font suite à une plainte déposée le 8 juillet 2008 par France 3 pour "vol, recel et contrefaçon" après la diffusion sur internet, en particulier sur Rue89, d'une vidéo montrant Nicolas Sarkozy sur le plateau de la chaîne publique, hors antenne, avant un passage au journal "19/20" le 30 juin 2008.
A la suite de cette plainte, la police avait convoqué et entendu le 1er avril quatre journalistes (deux de France 3 et deux de Rue89, dont le directeur du site, Pierre Haski). Tous étaient ressortis libres, sans être mis en accusation. Ils avaient dénoncé une manoeuvre d'"intimidation" de la police pour révéler leurs sources.
Sur cette vidéo, visionnée à plusieurs centaines de milliers de reprises, M. Sarkozy semblait très mécontent qu'un technicien de France 3 ne lui ait pas rendu son salut avant l'interview. Il avait également demandé au journaliste de France 3 Gérard Leclerc combien de temps il était resté "au placard".