Le sommet a été précédé d'une réunion dimanche des ministres de l'Energie du Forum des pays exportateurs de gaz (FPEG), sorte d'Opep du gaz.
Le FPEG contrôle près de 70% des réserves mondiales de gaz, comptant notamment dans ses rangs la Russie, premier producteur au monde, l'Iran, le Qatar, l'Algérie et le Venezuela.
Outre M. Ahmadinejad, le président algérien Abdelaziz Bouteflika et le président du Conseil national de transition (CNT) libyen, Moustapha Abdeljalil, doivent participer à la réunion, selon les organisateurs.
La rencontre est destinée à discuter de la "priorité (à donner) aux contrats à long terme, base de la sécurité pour les exportateurs comme pour les consommateurs de gaz naturel", selon le FPEG.
La réunion vise aussi à "coordonner les efforts des pays producteurs pour promouvoir l'industrie gazière mondiale" et à établir un mécanisme pour des prix équilibrés du gaz qui seraient indexés sur les prix du pétrole.
Les principaux pays exportateurs de gaz se sont dotés en décembre 2008 d'une organisation officielle, une démarche qui a fait craindre aux pays consommateurs qu'une telle structure n'influe sur les prix.
Le ministre de l'Energie du Qatar, Mohammed ben Saleh al-Sada, a affirmé dimanche que le FPEG avait des objectifs "différents" de ceux de l'Opep et qu'il ne revenait "pas à ce forum de fixer les prix" du gaz.
"Un prix équitable est déterminé par l'offre et la demande", a-t-il souligné, en précisant les pays producteurs aspiraient à voir "les prix du gaz liés à des matières premières de l'énergie, notamment le pétrole".
Les prix du gaz sont actuellement fixés soit dans le cadre de contrats à long terme, qui peuvent être indexés sur le prix du pétrole, soit sur le marché au comptant.
La demande mondiale de gaz a plongé à la suite de la crise financière mondiale, mais le forum affirme qu'elle a rebondi en 2010, progressant de 7,1%.
Outre Oman, admis dimanche, le FPEG regroupe l'Algérie, la Bolivie, l'Egypte, la Guinée équatoriale, l'Iran, la Libye, le Nigeria, le Qatar, la Russie, Trinité-et-Tobago et le Venezuela. Le Qatar, qui dispose des troisièmes réserves mondiales, abrite le siège de l'organisation.
Le FPEG contrôle près de 70% des réserves mondiales de gaz, comptant notamment dans ses rangs la Russie, premier producteur au monde, l'Iran, le Qatar, l'Algérie et le Venezuela.
Outre M. Ahmadinejad, le président algérien Abdelaziz Bouteflika et le président du Conseil national de transition (CNT) libyen, Moustapha Abdeljalil, doivent participer à la réunion, selon les organisateurs.
La rencontre est destinée à discuter de la "priorité (à donner) aux contrats à long terme, base de la sécurité pour les exportateurs comme pour les consommateurs de gaz naturel", selon le FPEG.
La réunion vise aussi à "coordonner les efforts des pays producteurs pour promouvoir l'industrie gazière mondiale" et à établir un mécanisme pour des prix équilibrés du gaz qui seraient indexés sur les prix du pétrole.
Les principaux pays exportateurs de gaz se sont dotés en décembre 2008 d'une organisation officielle, une démarche qui a fait craindre aux pays consommateurs qu'une telle structure n'influe sur les prix.
Le ministre de l'Energie du Qatar, Mohammed ben Saleh al-Sada, a affirmé dimanche que le FPEG avait des objectifs "différents" de ceux de l'Opep et qu'il ne revenait "pas à ce forum de fixer les prix" du gaz.
"Un prix équitable est déterminé par l'offre et la demande", a-t-il souligné, en précisant les pays producteurs aspiraient à voir "les prix du gaz liés à des matières premières de l'énergie, notamment le pétrole".
Les prix du gaz sont actuellement fixés soit dans le cadre de contrats à long terme, qui peuvent être indexés sur le prix du pétrole, soit sur le marché au comptant.
La demande mondiale de gaz a plongé à la suite de la crise financière mondiale, mais le forum affirme qu'elle a rebondi en 2010, progressant de 7,1%.
Outre Oman, admis dimanche, le FPEG regroupe l'Algérie, la Bolivie, l'Egypte, la Guinée équatoriale, l'Iran, la Libye, le Nigeria, le Qatar, la Russie, Trinité-et-Tobago et le Venezuela. Le Qatar, qui dispose des troisièmes réserves mondiales, abrite le siège de l'organisation.