
Il a parlé d'une rentrée "satisfaisante" pour l'enseignement catholique qui accueille actuellement 2.020.216 élèves, dont 847.183 dans le premier degré, 1.123.109 dans le second degré, et 49.924 dans l'enseignement agricole.
Les effectifs dans le premier degré (-194 élèves cette année) sont "stabilisés" après deux années consécutives de baisse. En revanche, le recul continue dans l'enseignement agricole (-567), ce qui oblige à réfléchir au contenu des formations, a-t-il dit.
Eric de Labarre se dit plus inquiet pour la rentrée 2011, du fait des suppressions de postes prévues pour des raisons budgétaires (-16.000 dans le public, -2.000 dans le privé), ce qu'il déplore dans ce contexte d'augmentation du nombre d'élèves dans l'enseignement catholique.
Pour limiter l'effet de cette réduction du corps enseignant, il suggère de redéployer, de réduire le volume d'heures d'enseignement, de développer dans le premier degré l'intercommunalité, de réduire le nombre des options au lycée et aussi de développer l'enseignement à distance pour certaines matières.
L'enseignement catholique, a-t-il déclaré, est "sensible aux impératifs budgétaires" et est prêt à faire "les efforts nécessaires", à contribuer "intelligemment" à l'amélioration de l'éducation "dans son ensemble".
La création d'une commission parlementaire consacrée à l'enseignement serait "utile", a-t-il estimé. Pour lui, "les difficultés de l'école ne se règleront pas à coup de réformes et de décrets, la question est aussi de savoir quelle culture l'école doit transmettre".
"Nous ne sommes pas dans une logique de désespérance", a-t-il assuré en annonçant la tenue des Etats généraux de l'enseignement catholique, du 14 au 16 février 2011.
Les effectifs dans le premier degré (-194 élèves cette année) sont "stabilisés" après deux années consécutives de baisse. En revanche, le recul continue dans l'enseignement agricole (-567), ce qui oblige à réfléchir au contenu des formations, a-t-il dit.
Eric de Labarre se dit plus inquiet pour la rentrée 2011, du fait des suppressions de postes prévues pour des raisons budgétaires (-16.000 dans le public, -2.000 dans le privé), ce qu'il déplore dans ce contexte d'augmentation du nombre d'élèves dans l'enseignement catholique.
Pour limiter l'effet de cette réduction du corps enseignant, il suggère de redéployer, de réduire le volume d'heures d'enseignement, de développer dans le premier degré l'intercommunalité, de réduire le nombre des options au lycée et aussi de développer l'enseignement à distance pour certaines matières.
L'enseignement catholique, a-t-il déclaré, est "sensible aux impératifs budgétaires" et est prêt à faire "les efforts nécessaires", à contribuer "intelligemment" à l'amélioration de l'éducation "dans son ensemble".
La création d'une commission parlementaire consacrée à l'enseignement serait "utile", a-t-il estimé. Pour lui, "les difficultés de l'école ne se règleront pas à coup de réformes et de décrets, la question est aussi de savoir quelle culture l'école doit transmettre".
"Nous ne sommes pas dans une logique de désespérance", a-t-il assuré en annonçant la tenue des Etats généraux de l'enseignement catholique, du 14 au 16 février 2011.