"Je pense qu'elles vont être plutôt détaillées, parce que les ministres veulent savoir", a indiqué la ministre suédoise des Entreprises et de l'Energie, Maud Olofsson, en arrivant à une réunion ministérielle européenne.
Les ministres en charge de l'Industrie doivent y discuter du plan de restructuration d'Opel lors d'un déjeuner où le patron par intérim de GM Europe, Nick Reilly, sera notamment présent.
"Si nous avons une vue d'ensemble de ce qui se passe en Europe, nous pourrons aussi voir que nous allons partager les difficultés, que les petits et les grands pays seront touchés", a commenté Mme Olofsson.
Elle a dit espérer "une discussion équitable", soulignant l'importance de "continuer à s'en tenir aux règles: pas de course aux subventions" entre les pays européens.
"Nous ne pouvons pas permettre à GM d'aller dans un pays après l'autre pour négocier des aides publiques, et avoir cette sorte de concurrence", a-t-elle insisté.
Le refus d'une course aux subventions a déjà été affirmé lors de plusieurs réunions européennes consacrées à Opel à Bruxelles. Mais cette volonté semble souvent de façade, la plupart des gouvernements continuant d'avoir des discussions bilatérales avec GM.
"L'activité que nous avons tout le temps, quand nous nous rencontrons, discutons et voyons ce qui se passe, nous aide à observer les règles", a assuré Mme Olofsson.
Mais elle a aussi insisté sur le rôle en la matière de la Commission européenne, gardienne de la concurrence dans l'UE. "Nous voulons que la Commission vérifie ce qui se passe", et notamment "vérifie que tous les pays suivent les règles", a-t-elle dit.
Les ministres en charge de l'Industrie doivent y discuter du plan de restructuration d'Opel lors d'un déjeuner où le patron par intérim de GM Europe, Nick Reilly, sera notamment présent.
"Si nous avons une vue d'ensemble de ce qui se passe en Europe, nous pourrons aussi voir que nous allons partager les difficultés, que les petits et les grands pays seront touchés", a commenté Mme Olofsson.
Elle a dit espérer "une discussion équitable", soulignant l'importance de "continuer à s'en tenir aux règles: pas de course aux subventions" entre les pays européens.
"Nous ne pouvons pas permettre à GM d'aller dans un pays après l'autre pour négocier des aides publiques, et avoir cette sorte de concurrence", a-t-elle insisté.
Le refus d'une course aux subventions a déjà été affirmé lors de plusieurs réunions européennes consacrées à Opel à Bruxelles. Mais cette volonté semble souvent de façade, la plupart des gouvernements continuant d'avoir des discussions bilatérales avec GM.
"L'activité que nous avons tout le temps, quand nous nous rencontrons, discutons et voyons ce qui se passe, nous aide à observer les règles", a assuré Mme Olofsson.
Mais elle a aussi insisté sur le rôle en la matière de la Commission européenne, gardienne de la concurrence dans l'UE. "Nous voulons que la Commission vérifie ce qui se passe", et notamment "vérifie que tous les pays suivent les règles", a-t-elle dit.