Les carabiniers se sont immédiatement rendus à l'ambassade suisse, qui se trouve dans le nord de la ville, non loin du parc de Villa Ada, pour procéder à une enquête, a-t-il précisé, confirmant de premières informations donnés par l'agence Ansa.
Selon les premiers éléments de l'enquête, le colis aurait explosé aussitôt après avoir été ouvert par l'employé, qui a été transporté à hôpital romain Umberto Ier.
D'après le Corriere della Sera, il s'agit du portier de l'ambassade, un ressortissant suisse âgé de 53 ans, qui s'occupe également de la réception du courrier. Sa vie n'est pas en danger, mais il risque l'amputation des deux mains, tandis que selon l'agence Ansa, l'employé risque de perdre la main gauche.
"Nous sommes pleinement solidaires avec l'ambassadeur et tout le personnel de cette représentation diplomatique qui a fait l'objet d'un déplorable acte de violence qui mérite la plus ferme condamnation", a déclaré dans un communiqué le ministre italien des Affaires étrangères, Franco Frattini.
Selon les enquêteurs, cités par le Corriere della Sera sur son site internet, une des pistes principales à l'heure actuelle serait celle des "milieux anarchistes de la mouvance écologiste-terroriste".
Une autre piste envisagée est celle "d'un attentat organisé par des groupes anarchistes insurrectionnels", en raison de l'emprisonnement dans des établissements suisses de plusieurs membres de cette mouvance.
A la suite de cette attaque, le consulat suisse de Milan (nord) a été mis sous la protection des forces de l'ordre qui en empêche l'accès.
Outre les carabiniers, pompiers et artificiers sur arrivés sur place, a constaté un photographe de l'AFP.
A Genève, le porte-parole du gouvernement helvétique, André Simonazzi, interrogé par l'AFP, a refusé de confirmer ou infirmer pour l'instant cette information.
Un peu plus tôt dans la journée, deux fausses alertes à la bombe se sont produites dans des bureaux municipaux, dont un bureau électoral de la zone sud de Rome où se trouvaient 400 personnes, à la suite d'un appel téléphonique anonyme signalant la présence de colis piégés.
Il y a deux jours déjà, un colis suspect avait été retrouvé dans le métro de Rome, provoquant une alerte de la police et des artificiers mais l'examen de la boîte a montré qu'elle ne contenait que des tubes remplis de ciment.Les carabiniers se sont immédiatement rendus à l'ambassade suisse, qui se trouve dans le nord de la ville, non loin du parc de Villa Ada, pour procéder à une enquête, a-t-il précisé, confirmant de premières informations donnés par l'agence Ansa.
Selon les premiers éléments de l'enquête, le colis aurait explosé aussitôt après avoir été ouvert par l'employé, qui a été transporté à hôpital romain Umberto Ier.
D'après le Corriere della Sera, il s'agit du portier de l'ambassade, un ressortissant suisse âgé de 53 ans, qui s'occupe également de la réception du courrier. Sa vie n'est pas en danger, mais il risque l'amputation des deux mains, tandis que selon l'agence Ansa, l'employé risque de perdre la main gauche.
"Nous sommes pleinement solidaires avec l'ambassadeur et tout le personnel de cette représentation diplomatique qui a fait l'objet d'un déplorable acte de violence qui mérite la plus ferme condamnation", a déclaré dans un communiqué le ministre italien des Affaires étrangères, Franco Frattini.
Selon les enquêteurs, cités par le Corriere della Sera sur son site internet, une des pistes principales à l'heure actuelle serait celle des "milieux anarchistes de la mouvance écologiste-terroriste".
Une autre piste envisagée est celle "d'un attentat organisé par des groupes anarchistes insurrectionnels", en raison de l'emprisonnement dans des établissements suisses de plusieurs membres de cette mouvance.
A la suite de cette attaque, le consulat suisse de Milan (nord) a été mis sous la protection des forces de l'ordre qui en empêche l'accès.
Outre les carabiniers, pompiers et artificiers sur arrivés sur place, a constaté un photographe de l'AFP.
A Genève, le porte-parole du gouvernement helvétique, André Simonazzi, interrogé par l'AFP, a refusé de confirmer ou infirmer pour l'instant cette information.
Un peu plus tôt dans la journée, deux fausses alertes à la bombe se sont produites dans des bureaux municipaux, dont un bureau électoral de la zone sud de Rome où se trouvaient 400 personnes, à la suite d'un appel téléphonique anonyme signalant la présence de colis piégés.
Il y a deux jours déjà, un colis suspect avait été retrouvé dans le métro de Rome, provoquant une alerte de la police et des artificiers mais l'examen de la boîte a montré qu'elle ne contenait que des tubes remplis de ciment.
Selon les premiers éléments de l'enquête, le colis aurait explosé aussitôt après avoir été ouvert par l'employé, qui a été transporté à hôpital romain Umberto Ier.
D'après le Corriere della Sera, il s'agit du portier de l'ambassade, un ressortissant suisse âgé de 53 ans, qui s'occupe également de la réception du courrier. Sa vie n'est pas en danger, mais il risque l'amputation des deux mains, tandis que selon l'agence Ansa, l'employé risque de perdre la main gauche.
"Nous sommes pleinement solidaires avec l'ambassadeur et tout le personnel de cette représentation diplomatique qui a fait l'objet d'un déplorable acte de violence qui mérite la plus ferme condamnation", a déclaré dans un communiqué le ministre italien des Affaires étrangères, Franco Frattini.
Selon les enquêteurs, cités par le Corriere della Sera sur son site internet, une des pistes principales à l'heure actuelle serait celle des "milieux anarchistes de la mouvance écologiste-terroriste".
Une autre piste envisagée est celle "d'un attentat organisé par des groupes anarchistes insurrectionnels", en raison de l'emprisonnement dans des établissements suisses de plusieurs membres de cette mouvance.
A la suite de cette attaque, le consulat suisse de Milan (nord) a été mis sous la protection des forces de l'ordre qui en empêche l'accès.
Outre les carabiniers, pompiers et artificiers sur arrivés sur place, a constaté un photographe de l'AFP.
A Genève, le porte-parole du gouvernement helvétique, André Simonazzi, interrogé par l'AFP, a refusé de confirmer ou infirmer pour l'instant cette information.
Un peu plus tôt dans la journée, deux fausses alertes à la bombe se sont produites dans des bureaux municipaux, dont un bureau électoral de la zone sud de Rome où se trouvaient 400 personnes, à la suite d'un appel téléphonique anonyme signalant la présence de colis piégés.
Il y a deux jours déjà, un colis suspect avait été retrouvé dans le métro de Rome, provoquant une alerte de la police et des artificiers mais l'examen de la boîte a montré qu'elle ne contenait que des tubes remplis de ciment.Les carabiniers se sont immédiatement rendus à l'ambassade suisse, qui se trouve dans le nord de la ville, non loin du parc de Villa Ada, pour procéder à une enquête, a-t-il précisé, confirmant de premières informations donnés par l'agence Ansa.
Selon les premiers éléments de l'enquête, le colis aurait explosé aussitôt après avoir été ouvert par l'employé, qui a été transporté à hôpital romain Umberto Ier.
D'après le Corriere della Sera, il s'agit du portier de l'ambassade, un ressortissant suisse âgé de 53 ans, qui s'occupe également de la réception du courrier. Sa vie n'est pas en danger, mais il risque l'amputation des deux mains, tandis que selon l'agence Ansa, l'employé risque de perdre la main gauche.
"Nous sommes pleinement solidaires avec l'ambassadeur et tout le personnel de cette représentation diplomatique qui a fait l'objet d'un déplorable acte de violence qui mérite la plus ferme condamnation", a déclaré dans un communiqué le ministre italien des Affaires étrangères, Franco Frattini.
Selon les enquêteurs, cités par le Corriere della Sera sur son site internet, une des pistes principales à l'heure actuelle serait celle des "milieux anarchistes de la mouvance écologiste-terroriste".
Une autre piste envisagée est celle "d'un attentat organisé par des groupes anarchistes insurrectionnels", en raison de l'emprisonnement dans des établissements suisses de plusieurs membres de cette mouvance.
A la suite de cette attaque, le consulat suisse de Milan (nord) a été mis sous la protection des forces de l'ordre qui en empêche l'accès.
Outre les carabiniers, pompiers et artificiers sur arrivés sur place, a constaté un photographe de l'AFP.
A Genève, le porte-parole du gouvernement helvétique, André Simonazzi, interrogé par l'AFP, a refusé de confirmer ou infirmer pour l'instant cette information.
Un peu plus tôt dans la journée, deux fausses alertes à la bombe se sont produites dans des bureaux municipaux, dont un bureau électoral de la zone sud de Rome où se trouvaient 400 personnes, à la suite d'un appel téléphonique anonyme signalant la présence de colis piégés.
Il y a deux jours déjà, un colis suspect avait été retrouvé dans le métro de Rome, provoquant une alerte de la police et des artificiers mais l'examen de la boîte a montré qu'elle ne contenait que des tubes remplis de ciment.