
Alexandre Pitchouchkine
"A la suite d'une enquête menée de manière compétente, il a été établi qu'un moscovite né en 1979 était responsable de huit meurtres dans le nord et le nord-est de Moscou", explique le comité dans un communiqué.
"Entre janvier et juillet 2003, il a tué sept femmes. Dans toutes ces affaires, il a violé ses victimes, après quoi il les a étranglées. La huitième personne tuée "était le fils mineur de l'une des victimes", poursuit le communiqué.
Le Comité d'enquête ne précise cependant pas pourquoi le tueur a arrêté de commettre des crimes, ni les raisons pour lesquelles il a été appréhendé sept ans après les faits.
Plusieurs affaires retentissantes de tueurs en série ont passionné le public russe ces dernières années.
En 2007, Alexandre Pitchouchkine avait été condamné à la réclusion criminelle à perpétuité pour 49 meurtres et trois tentatives d'homicide dans le parc de Bitsevski (sud-ouest de Moscou), entre 1992 et 2006.
"Le maniaque de Bitsevski", comme le surnommait la presse russe, voulait que le nombre de meurtres qu'il commettrait corresponde aux cases sur un échiquier, soit 64, et barrait une case à chaque fois qu'il commettait un nouveau crime.
"Entre janvier et juillet 2003, il a tué sept femmes. Dans toutes ces affaires, il a violé ses victimes, après quoi il les a étranglées. La huitième personne tuée "était le fils mineur de l'une des victimes", poursuit le communiqué.
Le Comité d'enquête ne précise cependant pas pourquoi le tueur a arrêté de commettre des crimes, ni les raisons pour lesquelles il a été appréhendé sept ans après les faits.
Plusieurs affaires retentissantes de tueurs en série ont passionné le public russe ces dernières années.
En 2007, Alexandre Pitchouchkine avait été condamné à la réclusion criminelle à perpétuité pour 49 meurtres et trois tentatives d'homicide dans le parc de Bitsevski (sud-ouest de Moscou), entre 1992 et 2006.
"Le maniaque de Bitsevski", comme le surnommait la presse russe, voulait que le nombre de meurtres qu'il commettrait corresponde aux cases sur un échiquier, soit 64, et barrait une case à chaque fois qu'il commettait un nouveau crime.