
La SNCF annonce pour vendredi après-midi une amélioration sur l'ensemble du réseau, avec notamment 8 à 9 TGV sur 10 au départ ou à destination de Paris et 1 TER sur 2.
Un TGV province-province sur deux est prévu dans l'après-midi.
Les réseaux Transilien (Ile-de-France), Thalys, Eurostar, Lyria circulent normalement, selon un communiqué de la SNCF.
"Aucune assemblée générale n'a reconduit le mouvement", a déclaré M. Pepy sur France 2. "Le trafic va progressivement reprendre (...) Il devrait être normal en fin de soirée ou demain (samedi) matin", a-t-il indiqué.
"Si on peut décaler son voyage, c'est mieux", a recommandé le dirigeant de la SNCF. Un numéro vert a été mis en place (0 805 90 36 35).
La direction de la SNCF a reçu vendredi matin les syndicats de cheminots à tour de rôle.
"L'Unsa est sorti en souhaitant la reprise, la CGT a indiqué clairement qu'elle ne souhaitait pas que le droit de retrait soit instrumentalisé", a poursuivi M. Pepy.
Après l'agression, jeudi à bord d'un train Lyon-Strasbourg, de Bernard Mortelier, un contrôleur de 54 ans, héliporté et opéré à Besançon, de nombreux agents ont exercé leur droit de retrait et "posé le sac".
L'agresseur, placé en garde à vue, doit être examiné par un psychiatre.
Un TGV province-province sur deux est prévu dans l'après-midi.
Les réseaux Transilien (Ile-de-France), Thalys, Eurostar, Lyria circulent normalement, selon un communiqué de la SNCF.
"Aucune assemblée générale n'a reconduit le mouvement", a déclaré M. Pepy sur France 2. "Le trafic va progressivement reprendre (...) Il devrait être normal en fin de soirée ou demain (samedi) matin", a-t-il indiqué.
"Si on peut décaler son voyage, c'est mieux", a recommandé le dirigeant de la SNCF. Un numéro vert a été mis en place (0 805 90 36 35).
La direction de la SNCF a reçu vendredi matin les syndicats de cheminots à tour de rôle.
"L'Unsa est sorti en souhaitant la reprise, la CGT a indiqué clairement qu'elle ne souhaitait pas que le droit de retrait soit instrumentalisé", a poursuivi M. Pepy.
Après l'agression, jeudi à bord d'un train Lyon-Strasbourg, de Bernard Mortelier, un contrôleur de 54 ans, héliporté et opéré à Besançon, de nombreux agents ont exercé leur droit de retrait et "posé le sac".
L'agresseur, placé en garde à vue, doit être examiné par un psychiatre.