Le Polisario estime "infondée et arbitraire la décision du Maroc de retirer sa confiance à M. Ross dans la poursuite de (sa) mission pour la recherche d´une solution juste et durable au conflit du Sahara occidental garantissant le droit du peuple sahraoui à l´autodétermination", a déclaré le ministère sahraoui de l'Information.
"Cette décision, aussi grave qu'injustifiée, est un nouveau défi intolérable et inadmissible du Maroc à la communauté internationale, au Secrétaire général de l'ONU et au Conseil de sécurité qui, dans sa résolution 2044 du 24 avril dernier, a considéré le statu quo inacceptable et +a réaffirmé son soutien à M. Ross, et à l'action qu'il mène pour faciliter les négociations entre les parties+", a ajouté le Polisario.
Le Maroc a accusé jeudi M. Ross de mener un travail "partial et déséquilibré", quelques semaines après un rapport des Nations unies sur cette zone conflictuelle, et annoncé qu'il lui retirait sa confiance.
Le rapport de l'ONU mettait en cause des agissements des autorités de Rabat au Sahara occidental, occupé par le Maroc depuis 1975 et revendiqué par le Polisario, soutenu par Alger.
M. Ross avait été désigné en janvier 2009 émissaire spécial pour le Sahara par le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon.
"Le Maroc veut s'arroger, sans vergogne, le droit de dicter au Secrétaire général de l'ONU le contenu de ses rapports au Conseil de sécurité et de décider de la conduite que doit suivre" M. Ross, a encore estimé le Polisario.
Rabat "veut, par la même, tout faire pour réduire à néant la crédibilité et la neutralité opérationnelles de la Minurso (mission de l'Onu au Sahara Occidental), tel que décrié dans le dernier rapport du Secrétaire général", a-t-il ajouté.
Le Polisario a renouvelé "sa volonté poursuivre son soutien et sa coopération loyale" avec M. Ross et a lancé un "appel pressant" au Conseil de sécurité pour qu´il prenne les "mesures et décisions nécessaires à même de sauvegarder et protéger l´autorité de l'ONU".
"Cette décision, aussi grave qu'injustifiée, est un nouveau défi intolérable et inadmissible du Maroc à la communauté internationale, au Secrétaire général de l'ONU et au Conseil de sécurité qui, dans sa résolution 2044 du 24 avril dernier, a considéré le statu quo inacceptable et +a réaffirmé son soutien à M. Ross, et à l'action qu'il mène pour faciliter les négociations entre les parties+", a ajouté le Polisario.
Le Maroc a accusé jeudi M. Ross de mener un travail "partial et déséquilibré", quelques semaines après un rapport des Nations unies sur cette zone conflictuelle, et annoncé qu'il lui retirait sa confiance.
Le rapport de l'ONU mettait en cause des agissements des autorités de Rabat au Sahara occidental, occupé par le Maroc depuis 1975 et revendiqué par le Polisario, soutenu par Alger.
M. Ross avait été désigné en janvier 2009 émissaire spécial pour le Sahara par le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon.
"Le Maroc veut s'arroger, sans vergogne, le droit de dicter au Secrétaire général de l'ONU le contenu de ses rapports au Conseil de sécurité et de décider de la conduite que doit suivre" M. Ross, a encore estimé le Polisario.
Rabat "veut, par la même, tout faire pour réduire à néant la crédibilité et la neutralité opérationnelles de la Minurso (mission de l'Onu au Sahara Occidental), tel que décrié dans le dernier rapport du Secrétaire général", a-t-il ajouté.
Le Polisario a renouvelé "sa volonté poursuivre son soutien et sa coopération loyale" avec M. Ross et a lancé un "appel pressant" au Conseil de sécurité pour qu´il prenne les "mesures et décisions nécessaires à même de sauvegarder et protéger l´autorité de l'ONU".