Les prix à la consommation (pour l'ensemble des ménages et hors tabac) ont en effet augmenté au deuxième trimestre de 0,4%, souligne le ministère.
Sur un an en revanche, le salaire mensuel de base de l’ensemble des salariés enregistre "un gain de salaire en euros constants de +2,7 points" c'est-à-dire un gain de pouvoir d'achat car l'inflation a baissé entre juin 2008 et juin 2009 (-0,5%), note le ministère.
Le salaire mensuel de base reflète la variation moyenne des salaires dans les entreprises de 10 salariés ou plus.
Cet indice ne tient pas compte, contrairement au salaire moyen par tête (SMPT, calculé par l'Insee) des primes et éventuelles heures supplémentaires, ou de savoir si les personnes ont des durées de travail complètes.
Entre 20.000 et 30.000 établissements sont interrogés et déclarent le salaire de base d'un poste de travail représentatif d'une catégorie au département des statistiques des ministères de l'Emploi et du Travail (Dares).
Le salaire de base peut donc augmenter mais si le salarié perd son travail, ou est au chômage partiel, cela se traduit par une perte de revenu d'activité.
De fait, le pouvoir d'achat des ménages, s'il semble avoir connu une embellie début 2009 malgré la crise, devrait être amputé cette année par la flambée du chômage et le retour de l'inflation dû notamment à la facture énergétique, et peser sur la consommation, selon les économistes et l'Insee.
Le ministère de l'Emploi a également fait état vendredi d'une hausse de 0,4% sur un trimestre et de 2,2% sur un an de l'indice du salaire horaire de base des ouvriers (SHBO), utilisé dans le calcul de la revalorisation du Smic, la prochaine devant être annoncée en décembre pour intervenir au 1er janvier.
Les augmentations salariales, selon une récente étude du cabinet Hewitt, sont au plus bas depuis trente ans et resteront très faibles en 2009 et 2010 (respectivement +2,8% puis +2,6% contre 3,3% en 2008).
La hausse devrait être un peu plus faible pour les ouvriers, employés, agents de maîtrise, et forces de vente ainsi que pour les dirigeants, tandis que les cadres s'en tireraient mieux, selon cette étude portant sur 69 sociétés tous secteurs d'activité confondus et représentant 721.058 salariés.
Sur un an en revanche, le salaire mensuel de base de l’ensemble des salariés enregistre "un gain de salaire en euros constants de +2,7 points" c'est-à-dire un gain de pouvoir d'achat car l'inflation a baissé entre juin 2008 et juin 2009 (-0,5%), note le ministère.
Le salaire mensuel de base reflète la variation moyenne des salaires dans les entreprises de 10 salariés ou plus.
Cet indice ne tient pas compte, contrairement au salaire moyen par tête (SMPT, calculé par l'Insee) des primes et éventuelles heures supplémentaires, ou de savoir si les personnes ont des durées de travail complètes.
Entre 20.000 et 30.000 établissements sont interrogés et déclarent le salaire de base d'un poste de travail représentatif d'une catégorie au département des statistiques des ministères de l'Emploi et du Travail (Dares).
Le salaire de base peut donc augmenter mais si le salarié perd son travail, ou est au chômage partiel, cela se traduit par une perte de revenu d'activité.
De fait, le pouvoir d'achat des ménages, s'il semble avoir connu une embellie début 2009 malgré la crise, devrait être amputé cette année par la flambée du chômage et le retour de l'inflation dû notamment à la facture énergétique, et peser sur la consommation, selon les économistes et l'Insee.
Le ministère de l'Emploi a également fait état vendredi d'une hausse de 0,4% sur un trimestre et de 2,2% sur un an de l'indice du salaire horaire de base des ouvriers (SHBO), utilisé dans le calcul de la revalorisation du Smic, la prochaine devant être annoncée en décembre pour intervenir au 1er janvier.
Les augmentations salariales, selon une récente étude du cabinet Hewitt, sont au plus bas depuis trente ans et resteront très faibles en 2009 et 2010 (respectivement +2,8% puis +2,6% contre 3,3% en 2008).
La hausse devrait être un peu plus faible pour les ouvriers, employés, agents de maîtrise, et forces de vente ainsi que pour les dirigeants, tandis que les cadres s'en tireraient mieux, selon cette étude portant sur 69 sociétés tous secteurs d'activité confondus et représentant 721.058 salariés.