Ali Abdallah Saleh a quitté dimanche l'hôpital de Ryad où il était soigné et s'est installé dans une résidence du gouvernement saoudien dans la capitale du royaume wahhabite.
Contesté depuis janvier par des centaines de milliers de manifestants qui réclament son départ, Saleh, au pouvoir depuis trente-trois ans, a refusé à trois reprises, à chaque fois au dernier moment, de signer un accord de transition élaboré par le Conseil de coopération du Golfe (CCG), qui réunit des pays de la région.
Ce plan prévoit qu'il parte dans les trente jours suivant la signature de l'accord.
Selon le journal panarabe Achark al Aoussat, toutefois, des responsables américains l'auraient persuadé de ne pas rentrer dans son pays. Les autorités yéménites ont démenti lundi cette allégation.
Contesté depuis janvier par des centaines de milliers de manifestants qui réclament son départ, Saleh, au pouvoir depuis trente-trois ans, a refusé à trois reprises, à chaque fois au dernier moment, de signer un accord de transition élaboré par le Conseil de coopération du Golfe (CCG), qui réunit des pays de la région.
Ce plan prévoit qu'il parte dans les trente jours suivant la signature de l'accord.
Selon le journal panarabe Achark al Aoussat, toutefois, des responsables américains l'auraient persuadé de ne pas rentrer dans son pays. Les autorités yéménites ont démenti lundi cette allégation.