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Après avoir salué de belle façon la présence de Claire Martin, la doyenne des auteurs au Québec qui célébrera incidemment ses 95 ans samedi, le président a insisté sur le travail solitaire des auteurs, en les invitant à passer au Salon. À échanger entre eux comme à rencontrer les lecteurs qui devront profiter de l’opportunité pour voir de visu la tête de ceux qu’ils aiment lire.
«Un bon livre est sans âge» a par ailleurs clamé l’auteur et cinéaste qui refuse de croire à la fin du livre papier. «Je me plais à rêver que dans de nombreuses années, 80 % des lecteurs continueront à tenir un livre entre leurs mains».
En tant que maire, Régis Labeaume a pour sa part insisté sur l’importance d’assurer la continuité de la culture et a dit, en ce sens, suivre les traces de ses prédécesseurs. Pour y parvenir, il a rappelé le programme Première Ovation, annoncé lors du Sommet Horizon Culture qui permettra à de jeunes auteurs de s’épanouir en rencontrant des mentors et en participant à des classes de maîtres.
Festival littéraire
Dans la foulée du Moulin à images et du Cirque du Soleil, il a rappelé que Québec aura, dès l’an prochain, son Festival littéraire dans une facture qui reste à préciser et la transformation de l’Institut canadien, le Temple Wesley, en Maison de la littérature, un projet de 9M$ unique au Canada, qui devrait être inaugurée en 2 011. Deux projets qui devraient contribuer à faire de Québec la ville de la littérature au pays.
De son côté, le président-directeur général du Salon international du livre de Québec, Philippe Sauvageau a précisé que la morosité économique ne semble pas freiner l’engouement pour le Salon qui est l’un des plus «vieux» au Québec, ayant été créé en 1958. «Le Salon est de plus en plus populaire. Nous n’avons jamais accueilli autant d’auteurs (plus de 800) et d’éditeurs (près de 950) que cette année. Nous avons même dû refuser quelque 3 000 jeunes dans le contexte des visites scolaires, même si nous en accueillerons plus de 15 000», s’est-il réjoui.
«Un bon livre est sans âge» a par ailleurs clamé l’auteur et cinéaste qui refuse de croire à la fin du livre papier. «Je me plais à rêver que dans de nombreuses années, 80 % des lecteurs continueront à tenir un livre entre leurs mains».
En tant que maire, Régis Labeaume a pour sa part insisté sur l’importance d’assurer la continuité de la culture et a dit, en ce sens, suivre les traces de ses prédécesseurs. Pour y parvenir, il a rappelé le programme Première Ovation, annoncé lors du Sommet Horizon Culture qui permettra à de jeunes auteurs de s’épanouir en rencontrant des mentors et en participant à des classes de maîtres.
Festival littéraire
Dans la foulée du Moulin à images et du Cirque du Soleil, il a rappelé que Québec aura, dès l’an prochain, son Festival littéraire dans une facture qui reste à préciser et la transformation de l’Institut canadien, le Temple Wesley, en Maison de la littérature, un projet de 9M$ unique au Canada, qui devrait être inaugurée en 2 011. Deux projets qui devraient contribuer à faire de Québec la ville de la littérature au pays.
De son côté, le président-directeur général du Salon international du livre de Québec, Philippe Sauvageau a précisé que la morosité économique ne semble pas freiner l’engouement pour le Salon qui est l’un des plus «vieux» au Québec, ayant été créé en 1958. «Le Salon est de plus en plus populaire. Nous n’avons jamais accueilli autant d’auteurs (plus de 800) et d’éditeurs (près de 950) que cette année. Nous avons même dû refuser quelque 3 000 jeunes dans le contexte des visites scolaires, même si nous en accueillerons plus de 15 000», s’est-il réjoui.
