"Nous n'avons reçu aucun document signé par les six organisations CGPME, Veolia Propreté, CFDT, CGT, Sud et Unsa", a indiqué un porte-parole du ministère mardi soir à l'AFP.
"Dès que le ministère aura reçu un document signé par ces six organisations, elles seront reçues et le document pourra être étudié", a ajouté la même source.
Le texte, dont l'AFP a obtenu copie, s'intitule "Approche commune entre employeurs et organisations syndicales +sur les conditions d'obtention d'autorisation de travail et de séjour correspondant pour les salariés étrangers+". Il souligne notamment que "l'emploi d'étrangers sans titre de séjour est une réalité économique aujourd'hui dans notre pays (...)".
On estime officiellement qu'il y a entre 200.000 et 400.000 travailleurs en situation irrégulière en France.
Depuis mi-octobre, environ 6.000 sans-papiers, dont 1.500 intérimaires, se sont mis en grève pour exiger des critères clairs de régularisation par le travail, avec le soutien de onze syndicats ou associations.
"Dès que le ministère aura reçu un document signé par ces six organisations, elles seront reçues et le document pourra être étudié", a ajouté la même source.
Le texte, dont l'AFP a obtenu copie, s'intitule "Approche commune entre employeurs et organisations syndicales +sur les conditions d'obtention d'autorisation de travail et de séjour correspondant pour les salariés étrangers+". Il souligne notamment que "l'emploi d'étrangers sans titre de séjour est une réalité économique aujourd'hui dans notre pays (...)".
On estime officiellement qu'il y a entre 200.000 et 400.000 travailleurs en situation irrégulière en France.
Depuis mi-octobre, environ 6.000 sans-papiers, dont 1.500 intérimaires, se sont mis en grève pour exiger des critères clairs de régularisation par le travail, avec le soutien de onze syndicats ou associations.