Michel Sapin
Il y a "d'abord la mauvaise nouvelle d'une mauvaise taxe carbone, d'un nouvel impôt qui pervertit une belle idée", a déclaré Sapin sur France Inter.
"Ensuite, la fiscalisation des indemnités journalières" qui constitue "une double peine" pour les salariés victimes d'un accident du travail, a ajouté le député de l'Indre. "Les indemnités en question ne sont pas du même montant que la rémunération, elles sont à 60% ou à 80% au mieux de la rémunération précédente".
"C'est une fois de plus les petits qui vont payer, là où les gros continueront à bénéficier du bouclier fiscal", a dénoncé l'ancien ministre de l'Economie.
Quant à l'augmentation du forfait hospitalier confirmée par Nicolas Sarkozy, "c'était une hypothèse, c'est devenu aujourd'hui une certitude", a-t-il dit. "Donc, dans un discours plutôt bon enfant" il y avait en réalité "trois très mauvaises nouvelles pour la vie quotidienne des Français".
"Ensuite, la fiscalisation des indemnités journalières" qui constitue "une double peine" pour les salariés victimes d'un accident du travail, a ajouté le député de l'Indre. "Les indemnités en question ne sont pas du même montant que la rémunération, elles sont à 60% ou à 80% au mieux de la rémunération précédente".
"C'est une fois de plus les petits qui vont payer, là où les gros continueront à bénéficier du bouclier fiscal", a dénoncé l'ancien ministre de l'Economie.
Quant à l'augmentation du forfait hospitalier confirmée par Nicolas Sarkozy, "c'était une hypothèse, c'est devenu aujourd'hui une certitude", a-t-il dit. "Donc, dans un discours plutôt bon enfant" il y avait en réalité "trois très mauvaises nouvelles pour la vie quotidienne des Français".