A Kinshasa, il doit notamment rencontrer le président Kabila avec qui il devrait négocier de nouveaux contrats pour des grandes entreprises françaises.
Devant les deux chambres du Parlement, il devrait ensuite probablement exposer un plan pour développer la région des Kivus dans l’Est du pays afin de ramener la stabilité dans cette région ravagée par des années de guerre.
Cela fait 25 ans qu’un président français n’a pas foulé le sol congolais. Nicolas Sarkozy n’a prévu que quelques heures à Kinshasa, où il doit néanmoins négocier des contrats économiques et proposer sa vision pour ramener la paix et la stabilité dans la région des Grands Lacs.
Il ne voyage pas seul, une délégation de ministres français et de patrons de grandes entreprises françaises devrait l’aider dans ses démarches. France Telecom pourrait par exemple obtenir un contrat pour la construction d’un réseau de téléphonie mobile au Congo.
De son côté, la société de construction de centrales nucléaires Areva pourrait obtenir les droits d’exploration du sous-sol riche en uranium dans le sud de la province du Katanga.
Les mines katangaises, aujourd’hui fermées, avaient fourni l’uranium nécessaire aux bombes atomiques larguées sur le Japon pendant la Seconde Guerre mondiale.
Nicolas Sarkozy doit ainsi rencontrer son homologue congolais, Joseph Kabila, avant de s’adresser aux députés et sénateurs. Devant les deux chambres du Parlement, il devrait expliquer ses propositions pour ramener la paix dans l’Est du pays. Propositions qui avaient soulevé la controverse en début d’année, après que le président français ait parlé de «partage des richesses » entre les pays voisins de la région des Grands Lacs.
Face aux questions des Congolais, Nicolas Sarkozy devrait répondre en proposant la mise en place d’une meilleure coopération économique régionale qui garantirait néanmoins l’intangibilité des frontières congolaises. Après avoir initié la polémique, le président français est attendu au tournant non seulement par les élus mais aussi par la population.
Devant les deux chambres du Parlement, il devrait ensuite probablement exposer un plan pour développer la région des Kivus dans l’Est du pays afin de ramener la stabilité dans cette région ravagée par des années de guerre.
Cela fait 25 ans qu’un président français n’a pas foulé le sol congolais. Nicolas Sarkozy n’a prévu que quelques heures à Kinshasa, où il doit néanmoins négocier des contrats économiques et proposer sa vision pour ramener la paix et la stabilité dans la région des Grands Lacs.
Il ne voyage pas seul, une délégation de ministres français et de patrons de grandes entreprises françaises devrait l’aider dans ses démarches. France Telecom pourrait par exemple obtenir un contrat pour la construction d’un réseau de téléphonie mobile au Congo.
De son côté, la société de construction de centrales nucléaires Areva pourrait obtenir les droits d’exploration du sous-sol riche en uranium dans le sud de la province du Katanga.
Les mines katangaises, aujourd’hui fermées, avaient fourni l’uranium nécessaire aux bombes atomiques larguées sur le Japon pendant la Seconde Guerre mondiale.
Nicolas Sarkozy doit ainsi rencontrer son homologue congolais, Joseph Kabila, avant de s’adresser aux députés et sénateurs. Devant les deux chambres du Parlement, il devrait expliquer ses propositions pour ramener la paix dans l’Est du pays. Propositions qui avaient soulevé la controverse en début d’année, après que le président français ait parlé de «partage des richesses » entre les pays voisins de la région des Grands Lacs.
Face aux questions des Congolais, Nicolas Sarkozy devrait répondre en proposant la mise en place d’une meilleure coopération économique régionale qui garantirait néanmoins l’intangibilité des frontières congolaises. Après avoir initié la polémique, le président français est attendu au tournant non seulement par les élus mais aussi par la population.