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Luna Maya et Nazril Ariel
Nazril Ariel, vedette du groupe de rock Peterpan, "s'est rendu à la police à 03H00 (20H00 GMT lundi) parce qu'il est soupçonné d'avoir violé la loi anti-pornographie", a indiqué le porte-parole de la police nationale, Zainuri Lubis.
La police veut s'assurer qu'Ariel, 28 ans, est bien l'homme qui est montré, dans deux vidéos différentes, en train de faire l'amour avec deux célèbres présentatrices de télévision, sa compagne Luna Maya, 26 ans, et une ancienne petite amie, Cut Tari, 32 ans, actuellement mariée.
Ariel et Luna Maya ont affirmé qu'il ne s'agissait pas d'eux, se présentant comme des "victimes".
Les stars sont passibles d'une peine de prison de douze ans maximum si elles sont reconnues coupables d'avoir produit, disséminé ou offert des images pornographiques, selon une loi controversée adoptée en 2008 sous la pression de partis islamiques.
Depuis la sortie des vidéos, début juin, les autorités indonésiennes ont tenté, avec un succès très limité, de lutter contre leur propagation à grande échelle via l'internet, twitter, e-mail et DVD pirates.
Le scandale a déclenché un vaste débat sur le pouvoir pris par l'internet en Indonésie, le pays musulman le plus peuplé au monde, depuis l'avènement de la démocratie.
"Nous prenons conscience que notre pays ne peut rester démuni et être submergé par la fièvre technologique, car il y aura de nombreuses victimes", a déclaré le président Susilo Bambang Yudhoyono.
Le ministre de la Communication, Tifatul Sembiring, élu d'un parti islamique, a annoncé que des mesures allaient être prises pour renforcer le contrôle des sites web. "Nous voulons minimiser l'impact négatif d'internet car il est susceptible de détruire notre nation", a-t-il déclaré.
La police veut s'assurer qu'Ariel, 28 ans, est bien l'homme qui est montré, dans deux vidéos différentes, en train de faire l'amour avec deux célèbres présentatrices de télévision, sa compagne Luna Maya, 26 ans, et une ancienne petite amie, Cut Tari, 32 ans, actuellement mariée.
Ariel et Luna Maya ont affirmé qu'il ne s'agissait pas d'eux, se présentant comme des "victimes".
Les stars sont passibles d'une peine de prison de douze ans maximum si elles sont reconnues coupables d'avoir produit, disséminé ou offert des images pornographiques, selon une loi controversée adoptée en 2008 sous la pression de partis islamiques.
Depuis la sortie des vidéos, début juin, les autorités indonésiennes ont tenté, avec un succès très limité, de lutter contre leur propagation à grande échelle via l'internet, twitter, e-mail et DVD pirates.
Le scandale a déclenché un vaste débat sur le pouvoir pris par l'internet en Indonésie, le pays musulman le plus peuplé au monde, depuis l'avènement de la démocratie.
"Nous prenons conscience que notre pays ne peut rester démuni et être submergé par la fièvre technologique, car il y aura de nombreuses victimes", a déclaré le président Susilo Bambang Yudhoyono.
Le ministre de la Communication, Tifatul Sembiring, élu d'un parti islamique, a annoncé que des mesures allaient être prises pour renforcer le contrôle des sites web. "Nous voulons minimiser l'impact négatif d'internet car il est susceptible de détruire notre nation", a-t-il déclaré.
