"Treize sites seront inspectés d'ici la fin janvier 2010, sachant que chaque inspection durera une semaine et mobilisera 11 experts en sécurité du groupe", a déclaré à l'AFP un porte-parole de Total en précisant que ce serait Gérard Roussel, directeur de la raffinerie de Normandie (Gonfreville) qui présiderait cette mission d'inspection.
Outre la raffinerie de Grandpuits, seront inspectées celles de La Mède (Bouches-du-Rhône), de Feyzin (Rhône), des Flandres (Nord), de Normandie et de Donges (Loire-Atlantique), les sites pétro-chimiques de Gonfreville (Manche) et Carling (Moselle), les sites de fertilisants de Mazingarbe (Pas-de-Calais), Grandpuits et Grand-Quevilly (Seine-Maritime) et les sites gaziers de Lacq (Pyrénées-Atlantiques) et de Lussagnet (Landes).
"Les sites sont représentatifs de toutes les activités du groupe afin d'avoir une approche globale des questions de sécurité", a expliqué le porte-parole.
A l'issue des inspections, un rapport formulera des recommandations.
Les experts étudieront notamment l'efficacité organisationnelle, les niveaux de contrôle, l'utilisation des analyses de risques, la rigueur dans la conduite des opérations, l'efficacité des pratiques de maintenance et d'inspection et la maîtrise de la sécurité par les sous-traitants.
Le groupe Total a été confronté en France depuis le début de l'année à une série d'accidents ayant fait au total quatre morts et 14 blessés.
En août, une explosion sur le site de Carling a fait deux morts et six blessés. Un salarié de La Mède a trouvé la mort début janvier et une explosion dans un atelier de maintenance à Mardyck (Nord) a fait un mort et cinq blessés fin janvier.
Aucun accident mortel n'avait été enregistré chez Total en France en 2008 et 2007, après trois en 2006 et un en 2005.
Total a souligné que le nombre d'accidents (ayant donné lieu à un arrêt de travail) était en baisse, de 3,9 accidents par million d'heures travaillées fin 2004 à 2,1 fin 2008 (chiffres dans le groupe au plan mondial).
Outre la raffinerie de Grandpuits, seront inspectées celles de La Mède (Bouches-du-Rhône), de Feyzin (Rhône), des Flandres (Nord), de Normandie et de Donges (Loire-Atlantique), les sites pétro-chimiques de Gonfreville (Manche) et Carling (Moselle), les sites de fertilisants de Mazingarbe (Pas-de-Calais), Grandpuits et Grand-Quevilly (Seine-Maritime) et les sites gaziers de Lacq (Pyrénées-Atlantiques) et de Lussagnet (Landes).
"Les sites sont représentatifs de toutes les activités du groupe afin d'avoir une approche globale des questions de sécurité", a expliqué le porte-parole.
A l'issue des inspections, un rapport formulera des recommandations.
Les experts étudieront notamment l'efficacité organisationnelle, les niveaux de contrôle, l'utilisation des analyses de risques, la rigueur dans la conduite des opérations, l'efficacité des pratiques de maintenance et d'inspection et la maîtrise de la sécurité par les sous-traitants.
Le groupe Total a été confronté en France depuis le début de l'année à une série d'accidents ayant fait au total quatre morts et 14 blessés.
En août, une explosion sur le site de Carling a fait deux morts et six blessés. Un salarié de La Mède a trouvé la mort début janvier et une explosion dans un atelier de maintenance à Mardyck (Nord) a fait un mort et cinq blessés fin janvier.
Aucun accident mortel n'avait été enregistré chez Total en France en 2008 et 2007, après trois en 2006 et un en 2005.
Total a souligné que le nombre d'accidents (ayant donné lieu à un arrêt de travail) était en baisse, de 3,9 accidents par million d'heures travaillées fin 2004 à 2,1 fin 2008 (chiffres dans le groupe au plan mondial).