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Après avoir été rentabilisé en deux mois seulement avec 183 millions de dollars de recettes rien qu'aux Etats-Unis où il est toujours au box-office, le film proposé en 3D dans les salles équipées, réunit les voix de Mike Myers, Cameron Diaz, Eddie Murphy et Antonio Banderas. Dans la version française, l'ogre attachant est joué à nouveau par Alain Chabat.
Pour cette fin proclamée, le studio DreamWorks surfe sur la carte du drame psychologique : après avoir vaincu un méchant dragon et sauvé une belle princesse et le royaume de ses parents, Shrek, devenu un géant vert pantouflard et surtout profondément déprimé par le bonheur, se pose des questions existentielles au gré d'une vie familiale trop calme, et malgré une charmante tribu de petits ogres auprès de sa douce Fiona.
Un méchant tout neuf, le sournois Tracassin, personnage malveillant inspiré des Contes de Grimm, va profiter des états d'âme de l'ogre, qui souhaite retrouver son célibat débridé et son agressivité naturelle, pour lui proposer un terrible pacte qui le propulse dans le passé.
Shrek retrouve un monde parallèle où les ogres font encore peur aux petits enfants et surtout où tout est permis, tandis que Tracassin n'a qu'un seul but: prendre les commandes du royaume après avoir remonté le temps pour empêcher l'ogre de sauver sa princesse du dragon.
Les fidèles de la série retrouveront l'âne facétieux et meilleur ami de Shrek, mais aussi le Chat Potté devenu un chat... potelé à force de se laisser vivre.
Pour échapper au sortilège que lui a lancé Tracassin, Shrek doit reconquérir Fiona coûte que coûte. "Nous sommes retourné aux sources mêmes de l'histoire : l'ogre se demande au passage ce qu'aurait été sa vie s'il n'avait pas libéré la princesse", explique Mike Mitchell, le réalisateur, dans les notes de production.
Les scénaristes ont imaginé Fiona en intrépide chef de guerre qui a fait une croix sur le grand amour. Shrek finira par la séduire en combattant en héros l'armée de sorcières de Tracassin.
La 3D offre des effets visuels impressionnants, notamment la chevauchée des sorcières sur balais volants ou la grande bataille finale qui permettra de sauver une nouvelle fois le royaume de Fort Fort Lointain.
Efficace et plaisant, "Shrek 4" s'est toutefois assagi avec nettement moins de pets et autres clins d'oeil artistiques, faisant regretter la folie déjantée du premier volet.
Pour cette fin proclamée, le studio DreamWorks surfe sur la carte du drame psychologique : après avoir vaincu un méchant dragon et sauvé une belle princesse et le royaume de ses parents, Shrek, devenu un géant vert pantouflard et surtout profondément déprimé par le bonheur, se pose des questions existentielles au gré d'une vie familiale trop calme, et malgré une charmante tribu de petits ogres auprès de sa douce Fiona.
Un méchant tout neuf, le sournois Tracassin, personnage malveillant inspiré des Contes de Grimm, va profiter des états d'âme de l'ogre, qui souhaite retrouver son célibat débridé et son agressivité naturelle, pour lui proposer un terrible pacte qui le propulse dans le passé.
Shrek retrouve un monde parallèle où les ogres font encore peur aux petits enfants et surtout où tout est permis, tandis que Tracassin n'a qu'un seul but: prendre les commandes du royaume après avoir remonté le temps pour empêcher l'ogre de sauver sa princesse du dragon.
Les fidèles de la série retrouveront l'âne facétieux et meilleur ami de Shrek, mais aussi le Chat Potté devenu un chat... potelé à force de se laisser vivre.
Pour échapper au sortilège que lui a lancé Tracassin, Shrek doit reconquérir Fiona coûte que coûte. "Nous sommes retourné aux sources mêmes de l'histoire : l'ogre se demande au passage ce qu'aurait été sa vie s'il n'avait pas libéré la princesse", explique Mike Mitchell, le réalisateur, dans les notes de production.
Les scénaristes ont imaginé Fiona en intrépide chef de guerre qui a fait une croix sur le grand amour. Shrek finira par la séduire en combattant en héros l'armée de sorcières de Tracassin.
La 3D offre des effets visuels impressionnants, notamment la chevauchée des sorcières sur balais volants ou la grande bataille finale qui permettra de sauver une nouvelle fois le royaume de Fort Fort Lointain.
Efficace et plaisant, "Shrek 4" s'est toutefois assagi avec nettement moins de pets et autres clins d'oeil artistiques, faisant regretter la folie déjantée du premier volet.
