Silvio Berlusconi
M. Berlusconi est arrivé peu avant 09H00 GMT et s'est assis à cô té de ses avocats après avoir serré la main de collaborateurs.
A l'extérieur du tribunal, contrairement aux fois précédentes, ses partisans avaient reçu des consignes de discrétion. Face à eux, une dizaine de contestataires.
"Tu es notre honte", "qui est contre les magistrats est contre la loi", indiquaient-ils sur des pancartes, en référence à une mise en cause violente des juges lancée lundi dernier par M. Berlusconi dans la salle d'audience.
La semaine passée, M. Berlusconi s'en était pris pour la énième fois aux procureurs du parquet de Milan, qu'il accuse régulièrement de le persécuter et qu'il avait qualifiés de "cancer pour la démocratie".
Cette fois, M. Berlusconi est astreint au "silence électoral" (pas de commentaires sur le vote) jusqu'à 15H00 (13H00 GMT), horaire de clô ture des urnes.
M. Berlusconi, né à Milan qui est aussi son fief électoral, a fait activement campagne pour la réélection du maire sortant, Mme Letizia Moratti, membre de son parti (PDL), à la tête de la capitale économique du pays.
Il a contribué à durcir le ton de la campagne entre Mme Moratti et son principal adversaire, l'avocat Giuliano Pisapia, un ancien communiste candidat de la gauche.
C'est la cinquième fois consécutive que M. Berlusconi se présente au tribunal de Milan, après son grand retour devant les tribunaux le 28 mars qui avait fait suite à huit ans d'absence.
M. Berlusconi a assisté à des audiences de deux procès: l'affaire Mediaset (surfacturation de droits télévisés) et le procès Mills où il est poursuivi pour le versement de 600.000 dollars à l'avocat britannique David Mills en échange de faux témoignages dans des procès des années 90.
M. Berlusconi s'est également présenté à une audience préliminaire à un éventuel procès pour le dossier Mediatrade (droits télévisés). En revanche, il n'est pas venu à la première audience le 6 avril du procès pour le scandale sexuel Rubygate où il est convoqué de nouveau le 31 mai.
A l'extérieur du tribunal, contrairement aux fois précédentes, ses partisans avaient reçu des consignes de discrétion. Face à eux, une dizaine de contestataires.
"Tu es notre honte", "qui est contre les magistrats est contre la loi", indiquaient-ils sur des pancartes, en référence à une mise en cause violente des juges lancée lundi dernier par M. Berlusconi dans la salle d'audience.
La semaine passée, M. Berlusconi s'en était pris pour la énième fois aux procureurs du parquet de Milan, qu'il accuse régulièrement de le persécuter et qu'il avait qualifiés de "cancer pour la démocratie".
Cette fois, M. Berlusconi est astreint au "silence électoral" (pas de commentaires sur le vote) jusqu'à 15H00 (13H00 GMT), horaire de clô ture des urnes.
M. Berlusconi, né à Milan qui est aussi son fief électoral, a fait activement campagne pour la réélection du maire sortant, Mme Letizia Moratti, membre de son parti (PDL), à la tête de la capitale économique du pays.
Il a contribué à durcir le ton de la campagne entre Mme Moratti et son principal adversaire, l'avocat Giuliano Pisapia, un ancien communiste candidat de la gauche.
C'est la cinquième fois consécutive que M. Berlusconi se présente au tribunal de Milan, après son grand retour devant les tribunaux le 28 mars qui avait fait suite à huit ans d'absence.
M. Berlusconi a assisté à des audiences de deux procès: l'affaire Mediaset (surfacturation de droits télévisés) et le procès Mills où il est poursuivi pour le versement de 600.000 dollars à l'avocat britannique David Mills en échange de faux témoignages dans des procès des années 90.
M. Berlusconi s'est également présenté à une audience préliminaire à un éventuel procès pour le dossier Mediatrade (droits télévisés). En revanche, il n'est pas venu à la première audience le 6 avril du procès pour le scandale sexuel Rubygate où il est convoqué de nouveau le 31 mai.