Fajar Ashraf bin Fajar Ali avait attiré le 26 mai cette chatte avec de la nourriture et emmenée dans l'immeuble. Il a joué un peu avec le félin qui a tenté de s'échapper, avant de le rattraper et le jeter par une fenêtre du 10e étage, selon l'acte d'accusation.
Au cours du procès, l'homme, qui est employé dans un restaurant, s'est dit frustré de voir qu'en général les chats ne s'approchent pas de lui.
Après avoir vu que la chatte tombée en bas l'immeuble était encore vivante, l'homme l'a frappée à deux reprises contre le sol pour s'assurer qu'elle soit morte.
Devant le tribunal, l'avocat de la défense, Amarjit Singh Sidhu, a déclaré que son client était "pleinement conscient de la nature et des conséquences de son acte" et qu'il avait "honte d'avoir provoqué cet embarras à sa famille".
Le tribunal l'a reconnu coupable de cruauté envers animaux. Le président de la juridiction a indiqué qu'une peine dissuasive était nécessaire pour éviter que de tels actes de cruauté ne se répètent, selon le quotidien Straits Times.
Au cours du procès, l'homme, qui est employé dans un restaurant, s'est dit frustré de voir qu'en général les chats ne s'approchent pas de lui.
Après avoir vu que la chatte tombée en bas l'immeuble était encore vivante, l'homme l'a frappée à deux reprises contre le sol pour s'assurer qu'elle soit morte.
Devant le tribunal, l'avocat de la défense, Amarjit Singh Sidhu, a déclaré que son client était "pleinement conscient de la nature et des conséquences de son acte" et qu'il avait "honte d'avoir provoqué cet embarras à sa famille".
Le tribunal l'a reconnu coupable de cruauté envers animaux. Le président de la juridiction a indiqué qu'une peine dissuasive était nécessaire pour éviter que de tels actes de cruauté ne se répètent, selon le quotidien Straits Times.