Au total, 12 suspects, tous candidats au bac, se trouvaient en garde à vue mercredi dans le cadre de cette procédure pour “fraude aux examens”, “abus de confiance” et recel. Sept autres, interpellés mardi, ont été relâchés.
L’un des nouveaux suspects a été arrêté mardi soir à Marseille, les cinq autres mercredi matin à Paris, précise-t-on au parquet.
Le ministère de l’Education nationale avait annoncé vendredi son intention de porter plainte à la suite de suspicions de fuites portant sur des sujets de mathématiques pour les séries économique et sociale (ES) et littéraire (L).
Lors d’une conférence de presse, le directeur général de l’enseignement scolaire, Jean-Marc Huart, avait précisé que “quelques” élèves de “trois à quatre établissements d’Ile-de-France” étaient concernés.
Ils auraient reçu par des “réseaux privés, comme Whatsapp ou des SMS” les sujets “en amont des épreuves”.
L’un des nouveaux suspects a été arrêté mardi soir à Marseille, les cinq autres mercredi matin à Paris, précise-t-on au parquet.
Le ministère de l’Education nationale avait annoncé vendredi son intention de porter plainte à la suite de suspicions de fuites portant sur des sujets de mathématiques pour les séries économique et sociale (ES) et littéraire (L).
Lors d’une conférence de presse, le directeur général de l’enseignement scolaire, Jean-Marc Huart, avait précisé que “quelques” élèves de “trois à quatre établissements d’Ile-de-France” étaient concernés.
Ils auraient reçu par des “réseaux privés, comme Whatsapp ou des SMS” les sujets “en amont des épreuves”.