Après une chute brutale de ses ventes et de ses résultats en 2009, le numéro cinq mondial du secteur est enfin parvenu à redresser la barre, aidé par le lancement de nouveaux produits et de plus grandes marges réalisées grâce au plan de réduction des coûts, a indiqué le groupe dans un communiqué.
Ces résultats sont supérieurs aux attentes des analystes qui tablaient sur une perte de 128 millions d'euros.
De janvier à fin mars, les ventes ont cependant chuté de 19% à 1,405 milliard d'euros contre 1,736 milliard lors de la même période en 2009.
Le groupe publie également une baisse de 28% des unités vendues à 10,5 millions au 1er trimestre, suite à une réduction du catalogue du groupe qui cherche à se concentrer sur les téléphones haut de gamme.
Mi-janvier, Sony Ericsson avait publié de nouvelles pertes au quatrième trimestre et avait déclaré s'attendre à une année 2010 difficile, au moins au premier semestre.
Sur un an, le groupe était passé d'une perte de 73 millions d'euros en 2008 à une perte de 836 millions en 2009, tandis que les ventes avaient plongé de 11,24 milliards d'euros et 96,6 millions d'unités vendues à 6,79 milliards d'euros et 57,1 millions de téléphones.
Le président du groupe, Bert Nordberg, s'est félicité de "l'impact positif du lancement de nouveaux produits et du programme de transformation de l'entreprise améliorant les résultats de la compagnie".
Deux modèles, le Xperia (TM) X10 et le Vivaz, ont reçu un accueil favorable de la part des consommateurs au niveau mondial.
"Les hausses de la marge opérationnelle et de la marge d'exploitation montrent que nous sommes sur le bon chemin pour construire une structure des coûts correcte", a ajouté M. Nordberg, cité dans le communiqué.
Sony Ericsson a annoncé la suppression de milliers d'emplois depuis un an pour faire face à la chute de ses ventes, pénalisées par la percée des nouveaux acteurs Apple et Research in Motion sur le créneau rémunérateur des smartphones et par un positionnement de gamme mal défini, selon les analystes.
La récession, qui a entraîné un recul du marché de la téléphonie mobile en 2009, a également plombé la société, qui fonde sa nouvelle stratégie sur le divertissement.
L'équipementier télécom suédois Ericsson avait annoncé en janvier 1.500 suppressions d'emplois supplémentaires dans le cadre d'un plan de restructuration entamé début 2009 qui a lourdement pesé sur son bénéfice net, en chute de 92% et très inférieur aux attentes.
Son plan de réductions de coûts lancé en janvier 2009 et qui doit être achevé au deuxième trimestre 2010, devrait entraîner la suppression de 6.500 emplois contre 5.000 initialement annoncés.
Ces résultats sont supérieurs aux attentes des analystes qui tablaient sur une perte de 128 millions d'euros.
De janvier à fin mars, les ventes ont cependant chuté de 19% à 1,405 milliard d'euros contre 1,736 milliard lors de la même période en 2009.
Le groupe publie également une baisse de 28% des unités vendues à 10,5 millions au 1er trimestre, suite à une réduction du catalogue du groupe qui cherche à se concentrer sur les téléphones haut de gamme.
Mi-janvier, Sony Ericsson avait publié de nouvelles pertes au quatrième trimestre et avait déclaré s'attendre à une année 2010 difficile, au moins au premier semestre.
Sur un an, le groupe était passé d'une perte de 73 millions d'euros en 2008 à une perte de 836 millions en 2009, tandis que les ventes avaient plongé de 11,24 milliards d'euros et 96,6 millions d'unités vendues à 6,79 milliards d'euros et 57,1 millions de téléphones.
Le président du groupe, Bert Nordberg, s'est félicité de "l'impact positif du lancement de nouveaux produits et du programme de transformation de l'entreprise améliorant les résultats de la compagnie".
Deux modèles, le Xperia (TM) X10 et le Vivaz, ont reçu un accueil favorable de la part des consommateurs au niveau mondial.
"Les hausses de la marge opérationnelle et de la marge d'exploitation montrent que nous sommes sur le bon chemin pour construire une structure des coûts correcte", a ajouté M. Nordberg, cité dans le communiqué.
Sony Ericsson a annoncé la suppression de milliers d'emplois depuis un an pour faire face à la chute de ses ventes, pénalisées par la percée des nouveaux acteurs Apple et Research in Motion sur le créneau rémunérateur des smartphones et par un positionnement de gamme mal défini, selon les analystes.
La récession, qui a entraîné un recul du marché de la téléphonie mobile en 2009, a également plombé la société, qui fonde sa nouvelle stratégie sur le divertissement.
L'équipementier télécom suédois Ericsson avait annoncé en janvier 1.500 suppressions d'emplois supplémentaires dans le cadre d'un plan de restructuration entamé début 2009 qui a lourdement pesé sur son bénéfice net, en chute de 92% et très inférieur aux attentes.
Son plan de réductions de coûts lancé en janvier 2009 et qui doit être achevé au deuxième trimestre 2010, devrait entraîner la suppression de 6.500 emplois contre 5.000 initialement annoncés.