Il s’agit du plus important barrage construit sur le Nil depuis celui d'Assouan qui a été construit en 1960.
Mais sa construction a suscité la controverse, pour avoir provoqué le déplacement de plus de 40 mille personnes.
La cérémonie d'inauguration, elle, a été marquée par une manifestation de soutien au président soudanais visé par une possible inculpation de la Cour pénale internationale, pour crime de guerre au Darfour.
Le procureur de la CPI, Luis Moreno-Ocampo, a déclaré mardi avoir "de lourdes preuves contre" le président soudanais, qui pourrait faire l'objet d'un mandat d'arrêt.
S'exprimant lors de l'inauguration du barrage de Méroé, le chef de l'Etat soudanais a, quant à lui, martelé à une foule de partisans que le mandat d'arrêt de la CPI ne servirait à rien, à l'image des résolutions du conseil de sécurité contre le Soudan.
Omar el-Béchir a ajouté qu'à chaque fois que l'Occident imposera une sanction ou une résolution contre le Soudan, son gouvernement répliquera avec de grands projets de développement.
Le gouvernement soudanais ne reconnaît pas la Cour pénal internationale, qui, selon lui, est un instrument des puissances occidentales.
Si la CPI acceptait mercredi la requête du procureur de poursuivre Omar el-Béchir, il s'agirait du premier mandat d'arrêt contre un chef d'Etat, lancé par cette juridiction internationale, qui existe depuis 2002.
Mais sa construction a suscité la controverse, pour avoir provoqué le déplacement de plus de 40 mille personnes.
La cérémonie d'inauguration, elle, a été marquée par une manifestation de soutien au président soudanais visé par une possible inculpation de la Cour pénale internationale, pour crime de guerre au Darfour.
Le procureur de la CPI, Luis Moreno-Ocampo, a déclaré mardi avoir "de lourdes preuves contre" le président soudanais, qui pourrait faire l'objet d'un mandat d'arrêt.
S'exprimant lors de l'inauguration du barrage de Méroé, le chef de l'Etat soudanais a, quant à lui, martelé à une foule de partisans que le mandat d'arrêt de la CPI ne servirait à rien, à l'image des résolutions du conseil de sécurité contre le Soudan.
Omar el-Béchir a ajouté qu'à chaque fois que l'Occident imposera une sanction ou une résolution contre le Soudan, son gouvernement répliquera avec de grands projets de développement.
Le gouvernement soudanais ne reconnaît pas la Cour pénal internationale, qui, selon lui, est un instrument des puissances occidentales.
Si la CPI acceptait mercredi la requête du procureur de poursuivre Omar el-Béchir, il s'agirait du premier mandat d'arrêt contre un chef d'Etat, lancé par cette juridiction internationale, qui existe depuis 2002.