
Carly (Nichola Burley) et son groupe de street dance se sont qualifiés pour la finale des championnats anglais. Mais le départ de Jay (Ukweli Roach), son compagnon, qui est aussi le leader de la troupe, remet tout en cause, d'autant que la salle où ils s'entraînent habituellement n'est plus disponible.
La jeune fille rencontre un peu par hasard Helena (Charlotte Rampling), un professeur de danse classique qui lui propose un marché: elle leur prête une salle de l'Académie de ballet pour répéter si Carly accepte de former à la street dance cinq danseurs classiques, un peu trop académiques, avant qu'ils n'auditionnent pour entrer au Royal Ballet.
Entre les experts en street dance, qui ont grandi à l'école de la rue, et les danseurs classiques, beaucoup plus guindés, le choc est rude. Mais peu à peu, ils apprennent à s'apprivoiser, alors que Tomas, un beau danseur de ballet, semble vouloir séduire Carly.
"Street Dance", réalisé par Max Giwa et Dania Pasquini, est le premier film britannique entièrement tourné en 3D. Cette technique apporte beaucoup à ce long métrage, relativement classique dans sa réalisation. Outre certaines scènes de street dance très impressionnantes, le spectateur est quelquefois surpris par des jets de projectiles, notamment lors d'une bagarre rangée dans une cantine entre les jeunes danseurs.
Le film de Max Giwa et Dania, qui n'avaient réalisé auparavant que des publicités et des vidéoclips, présente donc l'avantage de la 3D par rapport à des films de danse américains des années 1980 comme "Footloose", "Flashdance" et "Dirty Dancing". Les cinéastes ont également réussi à mélanger des danseurs (dont les membres du groupe "Flawless", qui ont participé à l'émission anglaise "Britain's Got Talent") et des acteurs, avec notamment Charlotte Rampling qui joue le professeur de danse classique.
Les réalisateurs ont organisé de nombreuses auditions pour trouver les meilleurs street dancers du pays. Au total, un millier de candidats ont été auditionnés dans plusieurs villes, dont Manchester, Birmingham et Glasgow, avant une dernière sélection effectuée à Londres.
Le scénario reste assez classique -tout comme les dialogues- mais il présente l'originalité, contrairement à beaucoup de films anglais, de ne pas montrer les aspects les plus sombres de la jeunesse britannique. Il souligne que des jeunes issus de milieux défavorisés peuvent révéler leurs talents grâce à la danse.
"J'aime beaucoup le fait que le film montre des jeunes qui tentent de toutes leurs forces de faire quelque chose de positif. Cela montre que si vous travaillez dur et avec passion, vous pouvez accomplir des choses extraordinaires", commente d'ailleurs Charlotte Rampling.
Après "Avatar" de James Cameron qui a véritablement lancé la nouvelle vague des films en 3D, et les succès en salles d'"Alice au pays des merveilles" et de "Dragons", "Street Dance" apporte donc une nouvelle pierre à l'édifice de cette technique.
Dans les semaines qui viennent, les spectateurs pourront encore l'apprécier à travers des genres très différents, avec les sorties d'"Une nuit au cirque", du "Voyage extraordinaire de Samy" ou encore de "Piranha" d'Alexandre Aja. Un effet de lassitude n'est toutefois pas à exclure dans les mois à venir, si le spectacle ne répond pas toujours aux attentes des spectateurs.
La jeune fille rencontre un peu par hasard Helena (Charlotte Rampling), un professeur de danse classique qui lui propose un marché: elle leur prête une salle de l'Académie de ballet pour répéter si Carly accepte de former à la street dance cinq danseurs classiques, un peu trop académiques, avant qu'ils n'auditionnent pour entrer au Royal Ballet.
Entre les experts en street dance, qui ont grandi à l'école de la rue, et les danseurs classiques, beaucoup plus guindés, le choc est rude. Mais peu à peu, ils apprennent à s'apprivoiser, alors que Tomas, un beau danseur de ballet, semble vouloir séduire Carly.
"Street Dance", réalisé par Max Giwa et Dania Pasquini, est le premier film britannique entièrement tourné en 3D. Cette technique apporte beaucoup à ce long métrage, relativement classique dans sa réalisation. Outre certaines scènes de street dance très impressionnantes, le spectateur est quelquefois surpris par des jets de projectiles, notamment lors d'une bagarre rangée dans une cantine entre les jeunes danseurs.
Le film de Max Giwa et Dania, qui n'avaient réalisé auparavant que des publicités et des vidéoclips, présente donc l'avantage de la 3D par rapport à des films de danse américains des années 1980 comme "Footloose", "Flashdance" et "Dirty Dancing". Les cinéastes ont également réussi à mélanger des danseurs (dont les membres du groupe "Flawless", qui ont participé à l'émission anglaise "Britain's Got Talent") et des acteurs, avec notamment Charlotte Rampling qui joue le professeur de danse classique.
Les réalisateurs ont organisé de nombreuses auditions pour trouver les meilleurs street dancers du pays. Au total, un millier de candidats ont été auditionnés dans plusieurs villes, dont Manchester, Birmingham et Glasgow, avant une dernière sélection effectuée à Londres.
Le scénario reste assez classique -tout comme les dialogues- mais il présente l'originalité, contrairement à beaucoup de films anglais, de ne pas montrer les aspects les plus sombres de la jeunesse britannique. Il souligne que des jeunes issus de milieux défavorisés peuvent révéler leurs talents grâce à la danse.
"J'aime beaucoup le fait que le film montre des jeunes qui tentent de toutes leurs forces de faire quelque chose de positif. Cela montre que si vous travaillez dur et avec passion, vous pouvez accomplir des choses extraordinaires", commente d'ailleurs Charlotte Rampling.
Après "Avatar" de James Cameron qui a véritablement lancé la nouvelle vague des films en 3D, et les succès en salles d'"Alice au pays des merveilles" et de "Dragons", "Street Dance" apporte donc une nouvelle pierre à l'édifice de cette technique.
Dans les semaines qui viennent, les spectateurs pourront encore l'apprécier à travers des genres très différents, avec les sorties d'"Une nuit au cirque", du "Voyage extraordinaire de Samy" ou encore de "Piranha" d'Alexandre Aja. Un effet de lassitude n'est toutefois pas à exclure dans les mois à venir, si le spectacle ne répond pas toujours aux attentes des spectateurs.