"Une démarche va être enclenchée entre la fin de l'année et le début de l'année prochaine avec un questionnaire qui sera adressé à partir de novembre 2009 à tous les agents", a-t-il dit sur France Inter, sur fond de grève à Pôle emploi à l'appel de tous les syndicats sur les conditions de travail.
Sur l'atmosphère au sein de Pôle emploi, "je ne suis pas inquiet mais je suis vigilant", a précisé M. Wauquiez. Il a expliqué avoir demandé au directeur général Christian Charpy "qu'on n'ait pas d'omerta sur les difficultés et le stress générés par la crise" et de ne "pas attendre des accidents pour agir".
"J'ai demandé à Christian Charpy des initiatives tout de suite. On a mis en place depuis longtemps une ligne d'écoute pour que quelqu'un qui a besoin de s'exprimer de façon confidentielle puisse le faire. On a demandé à mobiliser tous les managers pour qu'ils soient sensibilisés aux risques psychosociaux" et "mis en place un réseau d'assistantes sociales", a-t-il ajouté.
S'"il peut y avoir des situations de souffrance", le secrétaire d'Etat a martelé que "Pôle emploi n'est pas France Télécom" car "c'est toujours un service public avec l'objectif de rendre le meilleur service possible".
Affirmant que les difficultés "sont liées à la crise", M. Wauquiez a expliqué qu"il ne fallait pas "s'arrêter au milieu du gué" de la fusion.
La réforme engagée il y a "un an et demi, pas trois mois" n'a pas été faite "sabre au clair", a-t-il assuré, évoquant des mesures adoptées pour "corriger le tir" sur le 39 49 ou "l'embauche de 3.000 personnes supplémentaires".
A une salariée de Pôle emploi Aquitaine se plaignant d'avoir à suivre 160 demandeurs d'emploi, du "management par objectifs" et d'"une fusion à rythme accéléré" générant "une grande souffrance", M. Wauquiez a répondu qu'il ne cherchait "pas à nier les surcharges de portefeuille" de chômeurs et qu'il fallait "continuer à avancer sur les agences uniques en prenant le temps".
"On a besoin de se fixer des objectifs", a-t-il cependant jugé, en ajoutant que "le but ne doit pas être d'épingler les agents", phénomène évoqué par cette salariée.
Sur l'atmosphère au sein de Pôle emploi, "je ne suis pas inquiet mais je suis vigilant", a précisé M. Wauquiez. Il a expliqué avoir demandé au directeur général Christian Charpy "qu'on n'ait pas d'omerta sur les difficultés et le stress générés par la crise" et de ne "pas attendre des accidents pour agir".
"J'ai demandé à Christian Charpy des initiatives tout de suite. On a mis en place depuis longtemps une ligne d'écoute pour que quelqu'un qui a besoin de s'exprimer de façon confidentielle puisse le faire. On a demandé à mobiliser tous les managers pour qu'ils soient sensibilisés aux risques psychosociaux" et "mis en place un réseau d'assistantes sociales", a-t-il ajouté.
S'"il peut y avoir des situations de souffrance", le secrétaire d'Etat a martelé que "Pôle emploi n'est pas France Télécom" car "c'est toujours un service public avec l'objectif de rendre le meilleur service possible".
Affirmant que les difficultés "sont liées à la crise", M. Wauquiez a expliqué qu"il ne fallait pas "s'arrêter au milieu du gué" de la fusion.
La réforme engagée il y a "un an et demi, pas trois mois" n'a pas été faite "sabre au clair", a-t-il assuré, évoquant des mesures adoptées pour "corriger le tir" sur le 39 49 ou "l'embauche de 3.000 personnes supplémentaires".
A une salariée de Pôle emploi Aquitaine se plaignant d'avoir à suivre 160 demandeurs d'emploi, du "management par objectifs" et d'"une fusion à rythme accéléré" générant "une grande souffrance", M. Wauquiez a répondu qu'il ne cherchait "pas à nier les surcharges de portefeuille" de chômeurs et qu'il fallait "continuer à avancer sur les agences uniques en prenant le temps".
"On a besoin de se fixer des objectifs", a-t-il cependant jugé, en ajoutant que "le but ne doit pas être d'épingler les agents", phénomène évoqué par cette salariée.