
Dans un communiqué, l'Association suisse des infirmières et infirmiers (ASI) s'est dite "choquée et bouleversée" par les faits qui ont eu lieu dans la région de la ville de Saint-Gall, dans l'est de la Suisse.
Le ministère public saint-gallois a ouvert vendredi une enquête pénale pour atteinte à la paix des morts, a indiqué son porte-parole Natalie Häusler, interrogée par l'agence suisse ats.
Les photos ont été prises dans une résidence pour personnes âgées.
Sur les photos, l'infirmière est assise à côté d'un lit où est allongé le cadavre d'une dame âgée recouverte d'un drap et revêtue d'une chemise blanche et d'un pull foncé.
Le site 20Minuten.ch a flouté les visages de l’infirmière et du cadavre. Il a également masqué une partie des bras de l'infirmière.
Sur son site Facebook, l'infirmière a aussi publié des photos d'inspiration sadomasochiste, notamment près d'une ambulance ou sur une moto.
A l'Office des affaires sociales du canton de Saint-Gall, le directeur de la section "vieillesse" Matthias Meierhofer, a déclaré à l'agence suisse ats être "choqué et consterné".
"Qu'il s'agisse d'une infirmière diplômée, d'une aide-soignante ou d'une simple assistante, il est clair que la personne qui a posé à côté de cadavres n'a rien à faire dans le domaine de la santé", souligne de son côté l'Association suisse des infirmières et infirmiers.
Le ministère public saint-gallois a ouvert vendredi une enquête pénale pour atteinte à la paix des morts, a indiqué son porte-parole Natalie Häusler, interrogée par l'agence suisse ats.
Les photos ont été prises dans une résidence pour personnes âgées.
Sur les photos, l'infirmière est assise à côté d'un lit où est allongé le cadavre d'une dame âgée recouverte d'un drap et revêtue d'une chemise blanche et d'un pull foncé.
Le site 20Minuten.ch a flouté les visages de l’infirmière et du cadavre. Il a également masqué une partie des bras de l'infirmière.
Sur son site Facebook, l'infirmière a aussi publié des photos d'inspiration sadomasochiste, notamment près d'une ambulance ou sur une moto.
A l'Office des affaires sociales du canton de Saint-Gall, le directeur de la section "vieillesse" Matthias Meierhofer, a déclaré à l'agence suisse ats être "choqué et consterné".
"Qu'il s'agisse d'une infirmière diplômée, d'une aide-soignante ou d'une simple assistante, il est clair que la personne qui a posé à côté de cadavres n'a rien à faire dans le domaine de la santé", souligne de son côté l'Association suisse des infirmières et infirmiers.