Sylvie Vartan
En longue robe noire ou en smoking, Sylvie Vartan a marqué un tournant dans sa carrière, longtemps ponctuée par des spectacles des plus haletants. "J'avais envie d'un récital, de quelque chose de plus intimiste, de plus près du public, pour mieux servir les textes et l'Olympia s'y prête parfaitement", a expliqué Sylvie Vartan à l'Associated Press.
A l'aulne de son dernier album "Toutes peines confondues" (RCA), tout juste sorti dans les bacs et qui fait la part belle au blues, l'ancienne idole yé-yé a égrené ses nouvelles chansons, dont celle signée Carla Bruni "Je chante le blues".
Sur scène, elle assume "une nouvelle forme de sérénité et parfois aussi de la mélancolie". Le temps qui passe, les amours perdues, l'enfance à jamais disparue sont des thèmes qu'elle revisite comme sur "La chanteuse a vingt ans", écrit par Serge Lama.
Autre clin d'oeil au temps qui passe, la reprise en duo avec sa choriste Sophie Thiam d'"Ebony & Ivory" de Paul McCartney, ou plus enlevée, celle de "Gone, Gone, Gone" de Robert Plant et Alison Krauss.
La gratifiant de plusieurs ovations, debout pendant le concert et de plusieurs rappels à la fin, les fans ont aussi eu droit aux grands succès de Sylvie Vartan, dont "La Maritza" ou "Darina", un hommage à sa fille adoptive du même nom qui, comme elle, a vu le jour en Bulgarie.
A l'aulne de son dernier album "Toutes peines confondues" (RCA), tout juste sorti dans les bacs et qui fait la part belle au blues, l'ancienne idole yé-yé a égrené ses nouvelles chansons, dont celle signée Carla Bruni "Je chante le blues".
Sur scène, elle assume "une nouvelle forme de sérénité et parfois aussi de la mélancolie". Le temps qui passe, les amours perdues, l'enfance à jamais disparue sont des thèmes qu'elle revisite comme sur "La chanteuse a vingt ans", écrit par Serge Lama.
Autre clin d'oeil au temps qui passe, la reprise en duo avec sa choriste Sophie Thiam d'"Ebony & Ivory" de Paul McCartney, ou plus enlevée, celle de "Gone, Gone, Gone" de Robert Plant et Alison Krauss.
La gratifiant de plusieurs ovations, debout pendant le concert et de plusieurs rappels à la fin, les fans ont aussi eu droit aux grands succès de Sylvie Vartan, dont "La Maritza" ou "Darina", un hommage à sa fille adoptive du même nom qui, comme elle, a vu le jour en Bulgarie.