"Une brigade des services de renseignement de l'air a appliqué la semaine dernière un jugement contre l'officier Hussein Harmouche stipulant sa mort par par balles", a indiqué la LSDH dans un communiqué, citant une source militaire.
"La brigade des officiers libres" formée par Harmouche n'a pas confirmé l'information.
Hussein Harmouche a été le premier officier de l'armée syrienne à avoir publiquement annoncé sa désertion en juin 2011, pour protester contre la répression du mouvement de contestation contre le régime du président Bachar al-Assad.
Harmouche était parvenu à quitter la Syrie pour s'exiler en Turquie où il avait fondé "la brigade des officiers libres" qui regroupait des dizaines d'autres officiers déserteurs, laquelle s'est par la suite unie à l'armée syrienne libre (ASL), créée par Riad al-Assaad.
Mais selon des militants, les services de renseignement syriens ont kidnappé l'officier insoumis en Turquie, l'ont amené en Syrie où il était apparu en septembre présentant des "aveux" à la télévision publique.
La LSDH, basée au Caire, a appelé "la communauté internationale à intervenir pour protéger les détenus dans les geôles syriennes contre les liquidations physiques dont ils font l'objet quotidiennement".
"La brigade des officiers libres" formée par Harmouche n'a pas confirmé l'information.
Hussein Harmouche a été le premier officier de l'armée syrienne à avoir publiquement annoncé sa désertion en juin 2011, pour protester contre la répression du mouvement de contestation contre le régime du président Bachar al-Assad.
Harmouche était parvenu à quitter la Syrie pour s'exiler en Turquie où il avait fondé "la brigade des officiers libres" qui regroupait des dizaines d'autres officiers déserteurs, laquelle s'est par la suite unie à l'armée syrienne libre (ASL), créée par Riad al-Assaad.
Mais selon des militants, les services de renseignement syriens ont kidnappé l'officier insoumis en Turquie, l'ont amené en Syrie où il était apparu en septembre présentant des "aveux" à la télévision publique.
La LSDH, basée au Caire, a appelé "la communauté internationale à intervenir pour protéger les détenus dans les geôles syriennes contre les liquidations physiques dont ils font l'objet quotidiennement".