Sergueï Lavrov
"Il est révoltant que certaines de ces organisations extrémistes, terroristes, qui luttent contre les forces gouvernementales en Syrie commencent à lancer des menaces, et ce n'est pas la première fois", a déclaré M. Lavrov.
"Ces menaces sont adressées à ceux qui vont oser se rendre à la conférence de Genève proposée par la Russie et les Etats-Unis", a-t-il ajouté.
Dix-neuf importants groupes rebelles syriens ont menacé samedi soir de juger pour "trahison" devant des tribunaux les éventuels participants à la conférence, laissant clairement entendre qu'ils seront exécutés.
L'opposition syrienne, très divisée sur une éventuelle participation à cette conférence de paix déjà plusieurs fois reportée, doit se réunir le 9 novembre en Turquie. Elle réclame des garanties pour que la conférence aboutisse à un départ de Bachar al-Assad, ce que le régime rejette catégoriquement.
M. Lavrov a souligné que la Russie avait été l'objet de menaces de la part des rebelles syriens.
"Ils ont averti que nos représentations diplomatiques, nos diplomates à l'étranger seraient des cibles légitimes", a-t-il dit.
"Tout cela est révoltant, inacceptable, et tout cela est de la responsabilité de ceux qui financent et arment ces groupes d'opposition", a poursuivi le ministre.
"Ces menaces sont adressées à ceux qui vont oser se rendre à la conférence de Genève proposée par la Russie et les Etats-Unis", a-t-il ajouté.
Dix-neuf importants groupes rebelles syriens ont menacé samedi soir de juger pour "trahison" devant des tribunaux les éventuels participants à la conférence, laissant clairement entendre qu'ils seront exécutés.
L'opposition syrienne, très divisée sur une éventuelle participation à cette conférence de paix déjà plusieurs fois reportée, doit se réunir le 9 novembre en Turquie. Elle réclame des garanties pour que la conférence aboutisse à un départ de Bachar al-Assad, ce que le régime rejette catégoriquement.
M. Lavrov a souligné que la Russie avait été l'objet de menaces de la part des rebelles syriens.
"Ils ont averti que nos représentations diplomatiques, nos diplomates à l'étranger seraient des cibles légitimes", a-t-il dit.
"Tout cela est révoltant, inacceptable, et tout cela est de la responsabilité de ceux qui financent et arment ces groupes d'opposition", a poursuivi le ministre.