"Nous notons avec satisfaction que nous avons reçu de Damas un accord de principe du gouvernement syrien pour participer à une conférence internationale, afin que les Syriens eux-mêmes puissent parvenir au règlement de ce conflit destructeur pour le pays et pour la région", a déclaré M. Loukachevitch aux médias.
Des médias occidentaux ont évoqué la date du 10 juin pour cette conférence, qui pourrait être organisée à Genève, comme celle tenue il y a un an et restée sans effet.
Mais le porte-parole de la diplomatie russe a estimé que ces informations ne "pouvaient être tenues pour sérieuses" en raison des divisions parmi les opposants au président Bachar al-Assad. "Il n'est pas sérieux de demander de fixer immédiatement une date pour la conférence sans savoir clairement qui, et avec quelle légitimité, s'exprimera au nom de l'opposition", a déclaré M. Loukachevitch.
La Coalition nationale de l'opposition syrienne a entamé jeudi à Istanbul une réunion de trois jours pour débattre de sa participation à la conférence de paix présentée comme "Genève 2", dont le principe a été lancé au début du mois lors d'une visite du secrétaire d'Etat américain John Kerry à Moscou.
Des médias occidentaux ont évoqué la date du 10 juin pour cette conférence, qui pourrait être organisée à Genève, comme celle tenue il y a un an et restée sans effet.
Mais le porte-parole de la diplomatie russe a estimé que ces informations ne "pouvaient être tenues pour sérieuses" en raison des divisions parmi les opposants au président Bachar al-Assad. "Il n'est pas sérieux de demander de fixer immédiatement une date pour la conférence sans savoir clairement qui, et avec quelle légitimité, s'exprimera au nom de l'opposition", a déclaré M. Loukachevitch.
La Coalition nationale de l'opposition syrienne a entamé jeudi à Istanbul une réunion de trois jours pour débattre de sa participation à la conférence de paix présentée comme "Genève 2", dont le principe a été lancé au début du mois lors d'une visite du secrétaire d'Etat américain John Kerry à Moscou.