Manuel Valls et Jean-Yves le Drian
Le président de la République a précisé "à nouveau que la France avait donc décidé de prendre la Russie aux mots tout en veillant, a-t-il dit, à transformer les mots en actes", a indiqué la porte-parole lors d'un briefing de presse, à l'issue du Conseil des ministres.
Cela s'effectuera "en fixant les conditions de l'effectivité de la proposition russe dans la résolution que la France a déposé au Conseil de sécurité. Effectivité de la proposition russe en termes bien sûr de calendrier, de mise en oeuvre du contrôle de la communauté internationale sur les armes chimiques détenues par le régime syrien", a ajouté Najat Vallaud-Belkacem.
François Hollande a précisé que "la phase diplomatique se poursuivait et que nous privilégions bien sûr la voie de la négociation mais, parce qu'elle n'est pas assurée du succès, cette voie de la négociation, toutes les options demeurent ouvertes", a aussi indiqué la porte-parole.
"Ce que l'on peut dire aujourd'hui est que l'évolution de la position russe marque une victoire de la diplomatie française et doit être mise au crédit de la détermination démontrée par la France et ses partenaires", a poursuivi Najat Vallaud-Belkacem.
Cela s'effectuera "en fixant les conditions de l'effectivité de la proposition russe dans la résolution que la France a déposé au Conseil de sécurité. Effectivité de la proposition russe en termes bien sûr de calendrier, de mise en oeuvre du contrôle de la communauté internationale sur les armes chimiques détenues par le régime syrien", a ajouté Najat Vallaud-Belkacem.
François Hollande a précisé que "la phase diplomatique se poursuivait et que nous privilégions bien sûr la voie de la négociation mais, parce qu'elle n'est pas assurée du succès, cette voie de la négociation, toutes les options demeurent ouvertes", a aussi indiqué la porte-parole.
"Ce que l'on peut dire aujourd'hui est que l'évolution de la position russe marque une victoire de la diplomatie française et doit être mise au crédit de la détermination démontrée par la France et ses partenaires", a poursuivi Najat Vallaud-Belkacem.