"Le nombre d'étudiants tués dans l'attaque aux obus sur la faculté d'architecture s'élève à 12", a-t-elle indiqué, accusant des "terroristes" de l'avoir commise, un terme utilisé par les autorités pour désigner les rebelles en guerre contre les troupes du régime de Bachar al-Assad.
La télévision syrienne al-Ikhbariya a montré des images d'étudiants blessés transportés à l'hôpital de même que des images de la faculté où les obus sont tombés: mares de sang, chaises et tables cassées dans ce qui semble être la cafétéria de la faculté.
"Plusieurs obus sont tombés dans l'enceinte de l'université", a déclaré de son côté l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH) en faisant état d'un nombre indéterminé de victimes.
Depuis le début de la semaine, les rebelles ont lancé des attaques contre ce secteur où se trouvent plusieurs bâtiments officiels, notamment la télévision, faisant au moins cinq morts.
Les tirs d'obus et de roquettes par les insurgés se sont multipliés ces dernières semaines sur Damas, place forte du régime dont les troupes tentent de neutraliser les poches rebelles à la périphérie et empêcher les combattants d'avancer dans la capitale.
Des combats faisaient rage par ailleurs à la périphérie de la capitale, selon l'OSDH.
"De violents combats ont éclaté à l'aube entre les insurgés et l'armée dans le quartier de Qaboun (nord-est) alors que les chars bombardaient les environs", a affirmé cette organisation qui s'appuie sur un important réseau d'informateurs, de militants et de médecins à travers la Syrie.
Des accrochages ont eu lieu aussi sur la route reliant le quartier palestinien al-Yarmouk avec celui de Hajar al-Aswad (banlieue sud), transformés en champs de bataille depuis des mois, selon l'ONG.
Des combats ont éclaté également dans le quartier de Qadam (sud-ouest) tandis que les chars pilonnaient Daraya, une localité qui résiste depuis des mois aux assauts répétés de l'armée.
Selon un militant, Ahmad al-Khatib, les combats se multiplient dans la capitale.
Mercredi, la violence a coûté la vie à 148 personnes à travers le pays, dont 63 civils, 28 soldats et 57 rebelles.
La télévision syrienne al-Ikhbariya a montré des images d'étudiants blessés transportés à l'hôpital de même que des images de la faculté où les obus sont tombés: mares de sang, chaises et tables cassées dans ce qui semble être la cafétéria de la faculté.
"Plusieurs obus sont tombés dans l'enceinte de l'université", a déclaré de son côté l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH) en faisant état d'un nombre indéterminé de victimes.
Depuis le début de la semaine, les rebelles ont lancé des attaques contre ce secteur où se trouvent plusieurs bâtiments officiels, notamment la télévision, faisant au moins cinq morts.
Les tirs d'obus et de roquettes par les insurgés se sont multipliés ces dernières semaines sur Damas, place forte du régime dont les troupes tentent de neutraliser les poches rebelles à la périphérie et empêcher les combattants d'avancer dans la capitale.
Des combats faisaient rage par ailleurs à la périphérie de la capitale, selon l'OSDH.
"De violents combats ont éclaté à l'aube entre les insurgés et l'armée dans le quartier de Qaboun (nord-est) alors que les chars bombardaient les environs", a affirmé cette organisation qui s'appuie sur un important réseau d'informateurs, de militants et de médecins à travers la Syrie.
Des accrochages ont eu lieu aussi sur la route reliant le quartier palestinien al-Yarmouk avec celui de Hajar al-Aswad (banlieue sud), transformés en champs de bataille depuis des mois, selon l'ONG.
Des combats ont éclaté également dans le quartier de Qadam (sud-ouest) tandis que les chars pilonnaient Daraya, une localité qui résiste depuis des mois aux assauts répétés de l'armée.
Selon un militant, Ahmad al-Khatib, les combats se multiplient dans la capitale.
Mercredi, la violence a coûté la vie à 148 personnes à travers le pays, dont 63 civils, 28 soldats et 57 rebelles.