"Nous estimons que ce plan en cinq points négocié entre la Russie et la Ligue arabe est d'une portée pertinente et positive afin de trouver une solution à la crise en Syrie", a déclaré Liu Weimin, porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères.
Samedi, la Russie et les Arabes se sont mis d'accord sur cinq points, appelant d'abord à "la fin de la violence d'où qu'elle vienne", ont annoncé à la presse les ministres qatari et russe des Affaires étrangères, cheikh Hamad ben Jassem al Thani et Sergueï Lavrov.
Ce plan refuse également toute intervention étrangère, appelle à la mise en place d'"un mécanisme de supervision impartial" et à autoriser l'arrivée de l'aide humanitaire sans entraves.
Russes et Arabes font enfin part de leur soutien à la mission de l'émissaire de l'ONU et de la Ligue arabe en Syrie, Kofi Annan, qui a conclu dimanche une mission à Damas sans parvenir à un accord pour mettre fin à un an de violences.
La Chine a de son cô té rédigé une proposition en six points très similaire, appelant à un cessez-le-feu immédiat en Syrie, des négociations entre les parties au conflit mais rejetant toute intervention étrangère. La Chine a dépêché plusieurs émissaires ces dernières semaines en Syrie et dans d'autres pays pour expliquer sa position.
Moscou et Pékin, fidèles alliés de Damas, ont par deux fois opposé leur veto à des résolutions du Conseil dénonçant la répression en Syrie.
Les violences en Syrie ont fait plus de 8.500 morts depuis le début, en mars 2011, d'une révolte populaire réprimée dans le sang par Damas, selon l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH).
Samedi, la Russie et les Arabes se sont mis d'accord sur cinq points, appelant d'abord à "la fin de la violence d'où qu'elle vienne", ont annoncé à la presse les ministres qatari et russe des Affaires étrangères, cheikh Hamad ben Jassem al Thani et Sergueï Lavrov.
Ce plan refuse également toute intervention étrangère, appelle à la mise en place d'"un mécanisme de supervision impartial" et à autoriser l'arrivée de l'aide humanitaire sans entraves.
Russes et Arabes font enfin part de leur soutien à la mission de l'émissaire de l'ONU et de la Ligue arabe en Syrie, Kofi Annan, qui a conclu dimanche une mission à Damas sans parvenir à un accord pour mettre fin à un an de violences.
La Chine a de son cô té rédigé une proposition en six points très similaire, appelant à un cessez-le-feu immédiat en Syrie, des négociations entre les parties au conflit mais rejetant toute intervention étrangère. La Chine a dépêché plusieurs émissaires ces dernières semaines en Syrie et dans d'autres pays pour expliquer sa position.
Moscou et Pékin, fidèles alliés de Damas, ont par deux fois opposé leur veto à des résolutions du Conseil dénonçant la répression en Syrie.
Les violences en Syrie ont fait plus de 8.500 morts depuis le début, en mars 2011, d'une révolte populaire réprimée dans le sang par Damas, selon l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH).