M. Rasmussen n'a pas indiqué quand et où ont eu lieu ces tirs, mais les derniers ont été détectés jeudi, a précisé une source proche de l'Otan.
"Je peux confirmer que nous avons détecté le lancement de missiles de type Scud et nous regrettons cet acte", a déclaré M. Rasmussen, interrogé par la presse à l'issue d'une rencontre avec le Premier ministre de Djibouti, Dileita Mohamed Dileita.
"Je considère qu'il s'agit d'actes d'un régime désespéré qui s'approche de l'effondrement", a ajouté le secrétaire général de l'Otan.
"Le fait que de tels missiles soient utilisés en Syrie met en évidence la nécessité d'une protection efficace de la Turquie", l'un des 28 membres de l'alliance ? a estimé M. Rasmussen.
"Ces tirs récents n'ont pas atteint le territoire turc mais représentent un danger potentiel, et c'est précisément la raison pour laquelle les pays de l'Otan ont décidé (le 4 décembre) de déployer des missiles Patriot en Turquie", a également expliqué M. Rasmussen. Il a de nouveau souligné que les batteries qui seront installées le long de la frontière syrienne ont "un but uniquement défensif".
Les missiles Patriot que trois pays de l'Otan --Etats-Unis, Pays-Bas et Allemagne-- se sont engagés à installer dans le sud-est de la Turquie pour intercepter d'éventuelles attaques venues de Syrie doivent "assurer la protection de la population et du territoire turcs", a insisté le secrétaire général.
Le régime syrien est accusé par Washington et les rebelles d'avoir eu recours aux missiles Scud depuis quelques semaines, ce que Damas a démenti.
"Je peux confirmer que nous avons détecté le lancement de missiles de type Scud et nous regrettons cet acte", a déclaré M. Rasmussen, interrogé par la presse à l'issue d'une rencontre avec le Premier ministre de Djibouti, Dileita Mohamed Dileita.
"Je considère qu'il s'agit d'actes d'un régime désespéré qui s'approche de l'effondrement", a ajouté le secrétaire général de l'Otan.
"Le fait que de tels missiles soient utilisés en Syrie met en évidence la nécessité d'une protection efficace de la Turquie", l'un des 28 membres de l'alliance ? a estimé M. Rasmussen.
"Ces tirs récents n'ont pas atteint le territoire turc mais représentent un danger potentiel, et c'est précisément la raison pour laquelle les pays de l'Otan ont décidé (le 4 décembre) de déployer des missiles Patriot en Turquie", a également expliqué M. Rasmussen. Il a de nouveau souligné que les batteries qui seront installées le long de la frontière syrienne ont "un but uniquement défensif".
Les missiles Patriot que trois pays de l'Otan --Etats-Unis, Pays-Bas et Allemagne-- se sont engagés à installer dans le sud-est de la Turquie pour intercepter d'éventuelles attaques venues de Syrie doivent "assurer la protection de la population et du territoire turcs", a insisté le secrétaire général.
Le régime syrien est accusé par Washington et les rebelles d'avoir eu recours aux missiles Scud depuis quelques semaines, ce que Damas a démenti.