Kofi Annan
Selon la chaîne, "une ambiance positive règne sur la rencontre entre le président Assad et l'émissaire du chef de l'ONU Kofi Annan", venu négocier un cessez-le-feu dans les violences qui ont fait des milliers de morts en un an.
La mission de l'émissaire international pour la Syrie intervient alors que les forces gouvernementales bombardaient violemment la ville d'Idleb, bastion rebelle dans le nord-ouest du pays, en prélude à un assaut d'envergure.
"Il s'agit des bombardements les plus violents depuis l'envoi de renforts de troupes cette semaine à Idleb. C'est un prélude à un début d'assaut", a indiqué à l'AFP Rami Abdel Rahmane, chef de l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH).
Avant sa mission, M. Annan avait mis en garde contre davantage de militarisation en Syrie qui aggraverait la situation dans ce pays, une position répétée par les Etats-Unis et la France.
Selon le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, M. Annan devait quitter Damas dimanche après des rencontres avec des responsables gouvernementaux et de la "société civile". Il se rend ensuite dans d'autres pays de la région pour rencontrer "des dirigeants de l'opposition hors de Syrie".
M. Ban a fait état de "trois priorités" pour la mission Annan: "un cessez-le-feu immédiat", "une solution politique globale" et "un accès et une aide humanitaires".
Au Caire, parallèlement, le comité de la Ligue arabe sur la Syrie s'est réuni au siège de l'organisation panarabe, avant une réunion des ministres arabes des Affaires étrangères avec le chef de la diplomatie russe Sergueï Lavrov. Les pays arabes sont critiques de la position russe sur la Syrie.
M. Lavrov a mis en garde contre toute "ingérence grossière" dans le conflit en Syrie lors d'une rencontre avec M. Annan vendredi au Caire, a indiqué samedi le ministère russe des Affaires étrangères.
La mission de l'émissaire international pour la Syrie intervient alors que les forces gouvernementales bombardaient violemment la ville d'Idleb, bastion rebelle dans le nord-ouest du pays, en prélude à un assaut d'envergure.
"Il s'agit des bombardements les plus violents depuis l'envoi de renforts de troupes cette semaine à Idleb. C'est un prélude à un début d'assaut", a indiqué à l'AFP Rami Abdel Rahmane, chef de l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH).
Avant sa mission, M. Annan avait mis en garde contre davantage de militarisation en Syrie qui aggraverait la situation dans ce pays, une position répétée par les Etats-Unis et la France.
Selon le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, M. Annan devait quitter Damas dimanche après des rencontres avec des responsables gouvernementaux et de la "société civile". Il se rend ensuite dans d'autres pays de la région pour rencontrer "des dirigeants de l'opposition hors de Syrie".
M. Ban a fait état de "trois priorités" pour la mission Annan: "un cessez-le-feu immédiat", "une solution politique globale" et "un accès et une aide humanitaires".
Au Caire, parallèlement, le comité de la Ligue arabe sur la Syrie s'est réuni au siège de l'organisation panarabe, avant une réunion des ministres arabes des Affaires étrangères avec le chef de la diplomatie russe Sergueï Lavrov. Les pays arabes sont critiques de la position russe sur la Syrie.
M. Lavrov a mis en garde contre toute "ingérence grossière" dans le conflit en Syrie lors d'une rencontre avec M. Annan vendredi au Caire, a indiqué samedi le ministère russe des Affaires étrangères.