Ahmet Üzümcü, le directeur-général de l'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques (OIAC) doit commenter vers 13H30 (11H30 GMT) les derniers avancements de la "longue et difficile" tâche de destruction de l'arsenal chimique syrien.
Cette conférence de presse aura lieu dans le centre de La Haye, où est basée l'OIAC.
Des membres de la première équipe, qui a déjà commencé dimanche la destruction d'équipements de production, seront également présents.
Le conseiller politique du directeur général, Malik Ellahi, donnera également des détails aux journalistes sur la suite de la mission, qui doit être terminée pour la mi-2014.
A cause de la nature de son travail, l'OIAC ne donne que très rarement des détails sur ses activités.
Son conseil exécutif, composé de 41 membres, se réunit actuellement pour l'une de ses rencontres régulières. Le directeur général a fourni aux ambassadeurs une mise au point de la situation en Syrie, derrière des portes closes.
L’Organisation avait annoncé mardi qu'une deuxième équipe serait envoyée sur le terrain, mais sans donner des détails quant à sa composition ou sa date de départ.
Quelques 19 experts de l'OIAC, assistés de 16 membres du personnel de l'ONU, sont actuellement en Syrie.
Une première vidéo montrant ces experts à l’œuvre a été diffusée mardi par la télévision d’État syrienne.
Sur les images, on voit l'un des experts placer une étiquette avec le logo de l'OIAC et un numéro de série sur un tableau de bord avant de prendre des photos.
Le président russe Vladimir Poutine a salué mardi la coopération de Damas, un jour après les experts internationaux et les Etats-Unis, qui avaient déjà salué lundi sa coopération.
A New York, le secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon a plaidé pour que la mission OIAC-ONU compte une centaine d'hommes, pour cette "opération jamais tentée auparavant".
M. Ban envisage que l'opération de désarmement chimique se déroule "en trois phases" dont la première a déjà commencé.
La deuxième phase, jusqu'au 1er novembre, doit permettre la destruction de toutes les installations de production d'armes chimiques. La dernière, du 1er novembre au 30 juin 2014, sera "la plus difficile": la destruction de 1.000 tonnes environ de produits toxiques et précurseurs répartis sur une quarantaine de sites.
Pour cette tâche "essentielle mais dangereuse" selon Ban Ki-moon, l'équipe conjointe devrait disposer de l'aide d'autres pays, d'une base opérationnelle à Damas et d'une base arrière qui serait située à Chypre.
Cette conférence de presse aura lieu dans le centre de La Haye, où est basée l'OIAC.
Des membres de la première équipe, qui a déjà commencé dimanche la destruction d'équipements de production, seront également présents.
Le conseiller politique du directeur général, Malik Ellahi, donnera également des détails aux journalistes sur la suite de la mission, qui doit être terminée pour la mi-2014.
A cause de la nature de son travail, l'OIAC ne donne que très rarement des détails sur ses activités.
Son conseil exécutif, composé de 41 membres, se réunit actuellement pour l'une de ses rencontres régulières. Le directeur général a fourni aux ambassadeurs une mise au point de la situation en Syrie, derrière des portes closes.
L’Organisation avait annoncé mardi qu'une deuxième équipe serait envoyée sur le terrain, mais sans donner des détails quant à sa composition ou sa date de départ.
Quelques 19 experts de l'OIAC, assistés de 16 membres du personnel de l'ONU, sont actuellement en Syrie.
Une première vidéo montrant ces experts à l’œuvre a été diffusée mardi par la télévision d’État syrienne.
Sur les images, on voit l'un des experts placer une étiquette avec le logo de l'OIAC et un numéro de série sur un tableau de bord avant de prendre des photos.
Le président russe Vladimir Poutine a salué mardi la coopération de Damas, un jour après les experts internationaux et les Etats-Unis, qui avaient déjà salué lundi sa coopération.
A New York, le secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon a plaidé pour que la mission OIAC-ONU compte une centaine d'hommes, pour cette "opération jamais tentée auparavant".
M. Ban envisage que l'opération de désarmement chimique se déroule "en trois phases" dont la première a déjà commencé.
La deuxième phase, jusqu'au 1er novembre, doit permettre la destruction de toutes les installations de production d'armes chimiques. La dernière, du 1er novembre au 30 juin 2014, sera "la plus difficile": la destruction de 1.000 tonnes environ de produits toxiques et précurseurs répartis sur une quarantaine de sites.
Pour cette tâche "essentielle mais dangereuse" selon Ban Ki-moon, l'équipe conjointe devrait disposer de l'aide d'autres pays, d'une base opérationnelle à Damas et d'une base arrière qui serait située à Chypre.