
Ces résultats supérieurs aux attentes ont fait grimper le titre du groupe audiovisuel vendredi à la Bourse de Paris. Vers 12H30, il prenait 4,53% à 12,23 euros.
Le PDG, Nonce Paolini, s'est félicité lors d'une conférence avec les analystes d'un premier semestre "actif" avec une "relance dans tous les domaines", notamment grâce à une Coupe du Monde de football "extrêmement réussie".
Le résultat net s'est établi à 74 millions d'euros au premier semestre 2010, en hausse de 51% sur un an. Le chiffre d'affaires consolidé s'est élevé à 1,28 milliard d'euros, en croissance de 14%, et les recettes publicitaires de la chaîne TF1 affichent une croissance de 11%, à 765 millions d'euros.
"La télévision est le média le plus investi au premier semestre et dépasse pour la première fois la presse", s'est félicité M. Paolini, pour qui la télévision "a retrouvé son statut de média de masse".
Le groupe filiale de Bouygues a revu son objectif de chiffre d'affaires pour l'année 2010 à 2,53 milliards d'euros, contre 2,36 milliards en 2009, soit +7%.
"Cette croissance est largement soumise à l'évolution du contexte économique", a précisé M. Paolini, qui affiche un "optimisme raisonnable".
Le Mondial a eu un impact sur le coût de la grille de 77 millions d'euros, soit un coût moyen de 2,9 millions d'euros par match, "c'est-à-dire une économie de 40% par rapport au Mondial 2006", selon M. Paolini.
TF1 a déboursé 120 millions d'euros pour l'exclusivité des droits du Mondial. Une facture finalement réduite à 87 millions d'euros, puisque la chaîne a rétrocédé 37 des 64 matchs à France Télévisions et Canal+.
En moyenne, les 27 matchs ont rassemblé 7,1 millions de téléspectateurs.
TF1 s'est félicité de ses bons scores sur internet, notamment dans la télévision de rattrapage (catch-up), avec 418 millions de vidéos vues en six mois contre 400 millions sur l'ensemble de l'année 2009.
Les chaînes de la TNT, TMC et NT1, que TF1 vient d'intégrer dans son giron, seront un vecteur de croissance. Si celle de TMC, 6e chaîne nationale, est "rentable", NT1 doit en revanche "conquérir des parts de marché" et sera développée, a détaillé M. Paolini.
Le PDG, Nonce Paolini, s'est félicité lors d'une conférence avec les analystes d'un premier semestre "actif" avec une "relance dans tous les domaines", notamment grâce à une Coupe du Monde de football "extrêmement réussie".
Le résultat net s'est établi à 74 millions d'euros au premier semestre 2010, en hausse de 51% sur un an. Le chiffre d'affaires consolidé s'est élevé à 1,28 milliard d'euros, en croissance de 14%, et les recettes publicitaires de la chaîne TF1 affichent une croissance de 11%, à 765 millions d'euros.
"La télévision est le média le plus investi au premier semestre et dépasse pour la première fois la presse", s'est félicité M. Paolini, pour qui la télévision "a retrouvé son statut de média de masse".
Le groupe filiale de Bouygues a revu son objectif de chiffre d'affaires pour l'année 2010 à 2,53 milliards d'euros, contre 2,36 milliards en 2009, soit +7%.
"Cette croissance est largement soumise à l'évolution du contexte économique", a précisé M. Paolini, qui affiche un "optimisme raisonnable".
Le Mondial a eu un impact sur le coût de la grille de 77 millions d'euros, soit un coût moyen de 2,9 millions d'euros par match, "c'est-à-dire une économie de 40% par rapport au Mondial 2006", selon M. Paolini.
TF1 a déboursé 120 millions d'euros pour l'exclusivité des droits du Mondial. Une facture finalement réduite à 87 millions d'euros, puisque la chaîne a rétrocédé 37 des 64 matchs à France Télévisions et Canal+.
En moyenne, les 27 matchs ont rassemblé 7,1 millions de téléspectateurs.
TF1 s'est félicité de ses bons scores sur internet, notamment dans la télévision de rattrapage (catch-up), avec 418 millions de vidéos vues en six mois contre 400 millions sur l'ensemble de l'année 2009.
Les chaînes de la TNT, TMC et NT1, que TF1 vient d'intégrer dans son giron, seront un vecteur de croissance. Si celle de TMC, 6e chaîne nationale, est "rentable", NT1 doit en revanche "conquérir des parts de marché" et sera développée, a détaillé M. Paolini.