José Blanco
"Nous avons nos plans de construction d'AVE (nom espagnol du train à grande vitesse, ndlr) jusqu'à Badajoz (Estrémadure, centre) et Vigo (Galice, nord-ouest) pour que, en leur temps, ils relient le Portugal, et nous allons les maintenir", a déclaré Blanco à la télévision Telecinco.
Ces deux villes sont proches de la frontière portugaise.
Ces projets de LGV, dont celle qui doit relier Lisbonne et Madrid d'ici 2013, sont suspendus au résultat incertain des législatives au Portugal, où l'opposition de droite conteste la politique de grands travaux prônée par les socialistes pour soutenir l'économie et l'emploi.
"Si je deviens Premier ministre, je suspendrai ce projet", a affirmé samedi soir Manuela Ferreira Leite, présidente du Parti social-démocrate (PSD, centre-droit) donnée au coude-à-coude dans les sondages avec le chef du gouvernement socialiste sortant José Socrates.
"Le niveau d'endettement du pays rend ce projet insoutenable", a justifié, lors d'un débat télévisé avec son principal adversaire, cette économiste de 68 ans, ancienne ministre des Finances (2002-2004) de José Manuel Barroso.
Le ministre espagnol a ajouté qu'il considérait qu'il s'agissait d'un "débat interne" au Portugal, tout en ajoutant "qu'avec de bonnes infrastructures, il y aurait beaucoup plus de voyageurs allant à Lisbonne et Porto, ce qui bénéficierait au Portugal".
Ces deux villes sont proches de la frontière portugaise.
Ces projets de LGV, dont celle qui doit relier Lisbonne et Madrid d'ici 2013, sont suspendus au résultat incertain des législatives au Portugal, où l'opposition de droite conteste la politique de grands travaux prônée par les socialistes pour soutenir l'économie et l'emploi.
"Si je deviens Premier ministre, je suspendrai ce projet", a affirmé samedi soir Manuela Ferreira Leite, présidente du Parti social-démocrate (PSD, centre-droit) donnée au coude-à-coude dans les sondages avec le chef du gouvernement socialiste sortant José Socrates.
"Le niveau d'endettement du pays rend ce projet insoutenable", a justifié, lors d'un débat télévisé avec son principal adversaire, cette économiste de 68 ans, ancienne ministre des Finances (2002-2004) de José Manuel Barroso.
Le ministre espagnol a ajouté qu'il considérait qu'il s'agissait d'un "débat interne" au Portugal, tout en ajoutant "qu'avec de bonnes infrastructures, il y aurait beaucoup plus de voyageurs allant à Lisbonne et Porto, ce qui bénéficierait au Portugal".