«La presse, dans son ensemble et chaque organe selon sa ligne éditoriale, a su, dans le développement actuel de la crise sociale, jouer son rôle», a indiqué lors d’un point de presse, Belngar Larmé, le président de l’UJT.
Mais l’Union des Journalistes Tchadiens (UJT) «déplore un acharnement des forces de l’ordre sur des médias et journalistes dans ce sacrifice consenti au bénéfice de la population.», a-t-il expliqué.
Il a également affirmé que : «Les journalistes en reportage dans des lieux de manifestations deviennent des cibles de la police, déployée pour réprimer ces manifestations, après les avoir bien identifiés.»
Belngar précise également que : «Nous citerons, entre autres, la violation des locaux de la radio Oxygène ; les traitements inhumains infligés du directeur de Publication d’Al Wihda Info, Djimet Wiché, lors de reportages dans la capitale ; les mauvais traitements infligés également à un reporter de la radio Dja FM, David Boulga, par le chef d’antenne de l’ANS du 4ème arrondissement, alors que sa plainte contre celui-ci est restée sans suite, au parquet de Grande Instance de N’Djaména; l’interpellation injuste du directeur de Publication du journal Al Chaheed.»
Selon lui, malgré les sorties médiatiques de la quasi-totalité des organisations professionnelles des médias et les multiples rencontres avec les autorités en charge de la sécurité publique et de la justice, pour dénoncer toutes ces dérives, la pratique continue de plus belle.
Pire, aucun agent des forces de l’ordre et de sécurité n’a été convoqué par la justice en dépit de la saisine du parquet par les victimes.
L’Union des Journalistes Tchadiens, en collaboration avec toutes les organisations des journalistes et des médias, demande aux directeurs des télévisions, des radios publiques et privées, et aux directeurs de Publication d’observer, scrupuleusement, cette «journée sans presse», le mercredi 21 février 2018, dès une heure du matin jusqu’à minuit, sur l’ensemble du territoire tchadien.
Durant cette journée sans presse, les télévisions, les radios ne doivent rien diffuser, et les journaux ne doivent pas paraître, et leurs vendeurs ne doivent même pas circuler avec des anciens numéros.
L’appel à la «journée sans presse» lancée par l’Union des Journalistes Tchadiens, a été repris dans un communiqué de presse conjoint, signé par les organisations professionnelles des médias, notamment, l’Union des Radios Privées du Tchad (URPT), l’Association des Editeurs de la Presse privée du Tchad (AEPT), la Ligue Tchadienne des Journalistes Arabophones (LTJA), le Patronat de la Presse du Tchad (PPT) et la Convention des Entreprises de la Presse Privée au Tchad (CEPPT).
Mais l’Union des Journalistes Tchadiens (UJT) «déplore un acharnement des forces de l’ordre sur des médias et journalistes dans ce sacrifice consenti au bénéfice de la population.», a-t-il expliqué.
Il a également affirmé que : «Les journalistes en reportage dans des lieux de manifestations deviennent des cibles de la police, déployée pour réprimer ces manifestations, après les avoir bien identifiés.»
Belngar précise également que : «Nous citerons, entre autres, la violation des locaux de la radio Oxygène ; les traitements inhumains infligés du directeur de Publication d’Al Wihda Info, Djimet Wiché, lors de reportages dans la capitale ; les mauvais traitements infligés également à un reporter de la radio Dja FM, David Boulga, par le chef d’antenne de l’ANS du 4ème arrondissement, alors que sa plainte contre celui-ci est restée sans suite, au parquet de Grande Instance de N’Djaména; l’interpellation injuste du directeur de Publication du journal Al Chaheed.»
Selon lui, malgré les sorties médiatiques de la quasi-totalité des organisations professionnelles des médias et les multiples rencontres avec les autorités en charge de la sécurité publique et de la justice, pour dénoncer toutes ces dérives, la pratique continue de plus belle.
Pire, aucun agent des forces de l’ordre et de sécurité n’a été convoqué par la justice en dépit de la saisine du parquet par les victimes.
L’Union des Journalistes Tchadiens, en collaboration avec toutes les organisations des journalistes et des médias, demande aux directeurs des télévisions, des radios publiques et privées, et aux directeurs de Publication d’observer, scrupuleusement, cette «journée sans presse», le mercredi 21 février 2018, dès une heure du matin jusqu’à minuit, sur l’ensemble du territoire tchadien.
Durant cette journée sans presse, les télévisions, les radios ne doivent rien diffuser, et les journaux ne doivent pas paraître, et leurs vendeurs ne doivent même pas circuler avec des anciens numéros.
L’appel à la «journée sans presse» lancée par l’Union des Journalistes Tchadiens, a été repris dans un communiqué de presse conjoint, signé par les organisations professionnelles des médias, notamment, l’Union des Radios Privées du Tchad (URPT), l’Association des Editeurs de la Presse privée du Tchad (AEPT), la Ligue Tchadienne des Journalistes Arabophones (LTJA), le Patronat de la Presse du Tchad (PPT) et la Convention des Entreprises de la Presse Privée au Tchad (CEPPT).