"Les discussions sont toujours en cours. La mission touche bientôt à sa fin mais elle n'est pas terminée. Il y a encore un certain nombre de propositions qui ont été faites" et qui sont encore débattues, a déclaré à l'AFP une porte-parole du secrétariat d'Etat au Développement de l'économie numérique.
Le dossier sera débloqué "de toute façon avant l'été", a-t-elle indiqué, sans donner de calendrier plus précis.
Selon un article publié jeudi dans La Tribune, "lors d'une réunion (mardi) au secrétariat d'Etat à l'Economie numérique, Orange et SFR ont fait savoir qu'ils ne voulaient pas financer la construction du réseau de diffusion alors qu'ils ne sont pas propriétaires des fréquences" et que le dossier était donc "de nouveau enlisé".
Interrogée par l'AFP, une porte-parole de l'opérateur Orange a déclaré: "La TMP, nous y croyons" et "nous voulons avancer sur le sujet". "Nous voulons bien y aller, mais pas tout seuls", a-t-elle ajouté.
SFR s'est de son côté refusé à tout commentaire, tandis que Bouygues Telecom avait déjà indiqué début mai qu'il ne souhaitait pas financer le réseau de TMP.
Début mars, le gouvernement avait lancé une mission pour faciliter les négociations sur la TMP, tablant sur un accord à la fin avril entre les différents acteurs, puis à la mi-mai.
Selon le pré-accord qui se dessinait alors, les opérateurs mobiles finançaient le lancement du service tandis que les chaînes investiraient de leur côté en apportant leurs contenus.
Initialement programmé en France pour 2007, le lancement de la TMP, qui permettra de regarder la télévision sur un mobile ou un récepteur de poche en diffusion hertzienne via une antenne, avait déjà pris beaucoup de retard, achoppant sur le financement.
Le dossier sera débloqué "de toute façon avant l'été", a-t-elle indiqué, sans donner de calendrier plus précis.
Selon un article publié jeudi dans La Tribune, "lors d'une réunion (mardi) au secrétariat d'Etat à l'Economie numérique, Orange et SFR ont fait savoir qu'ils ne voulaient pas financer la construction du réseau de diffusion alors qu'ils ne sont pas propriétaires des fréquences" et que le dossier était donc "de nouveau enlisé".
Interrogée par l'AFP, une porte-parole de l'opérateur Orange a déclaré: "La TMP, nous y croyons" et "nous voulons avancer sur le sujet". "Nous voulons bien y aller, mais pas tout seuls", a-t-elle ajouté.
SFR s'est de son côté refusé à tout commentaire, tandis que Bouygues Telecom avait déjà indiqué début mai qu'il ne souhaitait pas financer le réseau de TMP.
Début mars, le gouvernement avait lancé une mission pour faciliter les négociations sur la TMP, tablant sur un accord à la fin avril entre les différents acteurs, puis à la mi-mai.
Selon le pré-accord qui se dessinait alors, les opérateurs mobiles finançaient le lancement du service tandis que les chaînes investiraient de leur côté en apportant leurs contenus.
Initialement programmé en France pour 2007, le lancement de la TMP, qui permettra de regarder la télévision sur un mobile ou un récepteur de poche en diffusion hertzienne via une antenne, avait déjà pris beaucoup de retard, achoppant sur le financement.