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S'adressant à la presse sur les relations Turquie-UE et les derniers développements en Méditerranée orientale, Charles Michel a rappelé qu'un prochain sommet des chefs d'Etat et de gouvernement des Etats membres de l'UE se tiendra les 24 et 25 septembre.
Au cours de ce sommet, les dirigeants discuteront des politiques à l'égard de la Turquie et des moyens d'améliorer ces relations; les frontières de la zone économique exclusive en Méditerranée orientale, l'énergie, la sécurité et les migrations seront également à l'ordre du jour des discussions durant la réunion, a-t-il ajouté.
Charles Michel a proposé d'organiser une conférence multilatérale destinée à réduire les tensions en Méditerranée orientale, suggérant que les parties intéressées et l'OTAN pourraient participer à cette rencontre.
Soulignant que la Turquie et la Grèce ont également été informées de la conférence, Michel a estimé que c'était le meilleur moyen de réduire les tensions dans la région et d'ouvrir des voies de dialogue.
La Grèce est opposée aux activités actuelles de la Turquie en matière de prospection énergétique en Méditerranée orientale, tentant ainsi de mettre la main sur des territoires maritimes turcs en prenant pour prétexte de petits îlots situés à proximité des côtes turques.
La Turquie - le pays doté du plus long littoral du bassin méditerranéen - a déployé des navires de forage pour prospecter son plateau continental à la recherche d'énergie, affirmant que la Turquie et la République turque de Chypre du Nord (RTCN) ont des droits dans la région.
Selon les responsables turcs, le dialogue pour un partage équitable de ces ressources ne peut qu'être profitable à toutes les parties.
Au cours de ce sommet, les dirigeants discuteront des politiques à l'égard de la Turquie et des moyens d'améliorer ces relations; les frontières de la zone économique exclusive en Méditerranée orientale, l'énergie, la sécurité et les migrations seront également à l'ordre du jour des discussions durant la réunion, a-t-il ajouté.
Charles Michel a proposé d'organiser une conférence multilatérale destinée à réduire les tensions en Méditerranée orientale, suggérant que les parties intéressées et l'OTAN pourraient participer à cette rencontre.
Soulignant que la Turquie et la Grèce ont également été informées de la conférence, Michel a estimé que c'était le meilleur moyen de réduire les tensions dans la région et d'ouvrir des voies de dialogue.
La Grèce est opposée aux activités actuelles de la Turquie en matière de prospection énergétique en Méditerranée orientale, tentant ainsi de mettre la main sur des territoires maritimes turcs en prenant pour prétexte de petits îlots situés à proximité des côtes turques.
La Turquie - le pays doté du plus long littoral du bassin méditerranéen - a déployé des navires de forage pour prospecter son plateau continental à la recherche d'énergie, affirmant que la Turquie et la République turque de Chypre du Nord (RTCN) ont des droits dans la région.
Selon les responsables turcs, le dialogue pour un partage équitable de ces ressources ne peut qu'être profitable à toutes les parties.
