
Le sinistre s'est déclaré vers 4h00 du matin (21h00 GMT jeudi) au Tiger Pub, un établissement fréquenté par des locaux et des étrangers situé sur la plage de Patong. Il a été maîtrisé à la levée du jour.
"Le décès de quatre personnes a été confirmé. Nous pensons qu'il s'agit de touristes étrangers, mais ce n'est pas encore confirmé", a expliqué à l'AFP Chamroen Tipayapongtada, gouverneur-adjoint de Phuket.
L'état des quatre corps retrouvés sans vie ne permettait pas leur identification. Une équipe du Bureau de la police nationale a été envoyée de Bangkok pour tenter d'y parvenir.
Mais un Français était porté disparu dans la soirée. Des amis ont assuré à la police qu'il était dans l'établissement lorsque l'incendie s'est déclenché et qu'ils ne l'avaient pas revu depuis, a déclaré le patron de la police de Phuket, le colonel Chirapat Phochanapan.
Quatre autre Français et sept Thaïlandais ont par ailleurs été blessés, selon les sources officielles locales, faisant état en fin de journée d'un bilan probablement définitif. Un Français âgé de 30 ans a été admis en soins intensifs après avoir été brûlé à 40%, de même qu'une employée thaïlandaise de la discothèque.
Les premiers éléments de l'enquête faisaient apparaître que le sinistre avait été provoqué soit par la foudre, soit par l'explosion d'un transformateur.
"Les témoins ont indiqué qu'il y avait eu une coupure de courant et qu'il pleuvait. Quand le courant a été rétabli, ils ont entendu une explosion et le feu s'est déclenché", a expliqué le colonel Chirapat.
Un cadre du groupe Tiger qui gère la discothèque, a expliqué de son côté à l'AFP que l'établissement était officiellement fermé au moment du drame, mais qu'entre 70 et 80 personnes y étaient encore abritées, attendant la fin de la pluie.
"Nous respectons à la lettre la législation", a-t-il ajouté. "Nous assumerons nos responsabilités".
Les règles élémentaires de sécurité sont fréquemment ignorées en Thaïlande, destination très prisée des touristes occidentaux et asiatiques.
Pendant le réveillon du 31 décembre 2008 au 1er janvier 2009, 67 personnes avaient péri dans l'incendie d'une discothèque de Bangkok, dont trois Singapouriens, un Japonais et un Birman. De nombreux touristes occidentaux avaient été blessés.
L'incendie avait pris à cause de feux d'artifice tirés au moment où se produisait un groupe de rock. Le tenancier du Santika Club et le patron de l'entreprise qui avait installé les feux ont été condamnés l'an passé à trois ans de détention pour négligence grave dans cette affaire.
"Le décès de quatre personnes a été confirmé. Nous pensons qu'il s'agit de touristes étrangers, mais ce n'est pas encore confirmé", a expliqué à l'AFP Chamroen Tipayapongtada, gouverneur-adjoint de Phuket.
L'état des quatre corps retrouvés sans vie ne permettait pas leur identification. Une équipe du Bureau de la police nationale a été envoyée de Bangkok pour tenter d'y parvenir.
Mais un Français était porté disparu dans la soirée. Des amis ont assuré à la police qu'il était dans l'établissement lorsque l'incendie s'est déclenché et qu'ils ne l'avaient pas revu depuis, a déclaré le patron de la police de Phuket, le colonel Chirapat Phochanapan.
Quatre autre Français et sept Thaïlandais ont par ailleurs été blessés, selon les sources officielles locales, faisant état en fin de journée d'un bilan probablement définitif. Un Français âgé de 30 ans a été admis en soins intensifs après avoir été brûlé à 40%, de même qu'une employée thaïlandaise de la discothèque.
Les premiers éléments de l'enquête faisaient apparaître que le sinistre avait été provoqué soit par la foudre, soit par l'explosion d'un transformateur.
"Les témoins ont indiqué qu'il y avait eu une coupure de courant et qu'il pleuvait. Quand le courant a été rétabli, ils ont entendu une explosion et le feu s'est déclenché", a expliqué le colonel Chirapat.
Un cadre du groupe Tiger qui gère la discothèque, a expliqué de son côté à l'AFP que l'établissement était officiellement fermé au moment du drame, mais qu'entre 70 et 80 personnes y étaient encore abritées, attendant la fin de la pluie.
"Nous respectons à la lettre la législation", a-t-il ajouté. "Nous assumerons nos responsabilités".
Les règles élémentaires de sécurité sont fréquemment ignorées en Thaïlande, destination très prisée des touristes occidentaux et asiatiques.
Pendant le réveillon du 31 décembre 2008 au 1er janvier 2009, 67 personnes avaient péri dans l'incendie d'une discothèque de Bangkok, dont trois Singapouriens, un Japonais et un Birman. De nombreux touristes occidentaux avaient été blessés.
L'incendie avait pris à cause de feux d'artifice tirés au moment où se produisait un groupe de rock. Le tenancier du Santika Club et le patron de l'entreprise qui avait installé les feux ont été condamnés l'an passé à trois ans de détention pour négligence grave dans cette affaire.