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Le versement de cette contribution sera étalé tout au long des travaux, précise-t-elle dans un communiqué.
“Nous avons voulu répondre présent vis-à-vis du pays dans lequel notre entreprise est née. Total a donc choisi de faire un don exceptionnel, le plus important de son histoire”, a commenté le PDG du groupe pétrolier français, Patrick Pouyanné.
L’archevêque de Paris, Mgr Michel Aupetit, a évalué en juillet à 38 millions d’euros l’argent effectivement versé dans les caisses des fondations chargées de collecter les dons pour financer les travaux de réfection de Notre-Dame. Loin des 850 millions de promesses de dons annoncés mi-mai par le ministre de la culture, Franck Riester.
Les familles Pinault, Arnault (propriétaire de LVMH) et Bettencourt, premier actionnaire de L’Oréal, ont promis des contributions allant de 100 millions à 200 millions d’euros.
Dans l’incendie, a priori d’origine accidentelle, la cathédrale a perdu sa charpente vieille de plusieurs siècles et sa flèche, imaginée par l’architecte Eugène Viollet-le-Duc au milieu du XIXe siècle.
“Nous avons voulu répondre présent vis-à-vis du pays dans lequel notre entreprise est née. Total a donc choisi de faire un don exceptionnel, le plus important de son histoire”, a commenté le PDG du groupe pétrolier français, Patrick Pouyanné.
L’archevêque de Paris, Mgr Michel Aupetit, a évalué en juillet à 38 millions d’euros l’argent effectivement versé dans les caisses des fondations chargées de collecter les dons pour financer les travaux de réfection de Notre-Dame. Loin des 850 millions de promesses de dons annoncés mi-mai par le ministre de la culture, Franck Riester.
Les familles Pinault, Arnault (propriétaire de LVMH) et Bettencourt, premier actionnaire de L’Oréal, ont promis des contributions allant de 100 millions à 200 millions d’euros.
Dans l’incendie, a priori d’origine accidentelle, la cathédrale a perdu sa charpente vieille de plusieurs siècles et sa flèche, imaginée par l’architecte Eugène Viollet-le-Duc au milieu du XIXe siècle.
