"Il y a une convention internationale du travail (...) sur le repos hebdomadaire, et nous considérons -c'est pour ça que nous avons fait les observations au Bureau international du travail- que la loi qui a été votée ne répond pas, ne respecte pas toutes les dispositions de cette convention", a-t-il déclaré.
"Les dérogations sont prévues dans le cadre de la convention internationale mais il y a des formes à respecter et on ne peut pas déroger de manière temporaire et pour n'importe quoi", selon M. Mailly.
"Il y a toute une série d'activités -et personne ne remet en cause ça, y compris dans notre pays- qui ont des dérogations. Bien sûr, on parle tous des hôpitaux mais les hôtels cafés restaurants, les entreprises qui travaillent en continu. Ca, ce sont des dérogations possibles; mais ce n'est quand même pas vital d'aller acheter des meubles un dimanche", a-t-il noté.
Le 12 août, M. Mailly avait indiqué sur France 2 que FO ferait "des observations au Bureau international du travail" (BIT). "Si nous obtenons satisfaction (...) le gouvernement français sera bien obligé d'en tenir compte", avait-il précisé.
"Les dérogations sont prévues dans le cadre de la convention internationale mais il y a des formes à respecter et on ne peut pas déroger de manière temporaire et pour n'importe quoi", selon M. Mailly.
"Il y a toute une série d'activités -et personne ne remet en cause ça, y compris dans notre pays- qui ont des dérogations. Bien sûr, on parle tous des hôpitaux mais les hôtels cafés restaurants, les entreprises qui travaillent en continu. Ca, ce sont des dérogations possibles; mais ce n'est quand même pas vital d'aller acheter des meubles un dimanche", a-t-il noté.
Le 12 août, M. Mailly avait indiqué sur France 2 que FO ferait "des observations au Bureau international du travail" (BIT). "Si nous obtenons satisfaction (...) le gouvernement français sera bien obligé d'en tenir compte", avait-il précisé.