Les bus, appartenant aux Courriers d'Ile de France (CIF), circulaient sur les lignes 15, celle sur laquelle circulait le bus incendié le 31 mars, et 45 lorsqu'ils ont été pris pour cible par divers projectiles. L'un des projectiles a traversé de part en part l'un des bus. Le premier incident a eu lieu à 19h30, les suivants aux alentours de minuit, a-t-on appris de même source.
"Le régisseur a aussitôt rappelé tous les bus qui circulaient encore et les conducteurs ont décidé d'exercer leur droit de retrait. Moi-même je vais me rendre au dépôt pour m'assurer qu'aucun bus ne part", a déclaré à l'AFP Ben Abdelmalek, délégué du personnel.
"L'un des bus était pourtant précédé d'un véhicule de police, selon les dispositions prises suite à la visite de Brice Hortefeux (ministre de l'Intérieur, ndlr), mais ça n'a pas empêché le caillassage" a-t-il ajouté.
"Nous avions déjà prévenu à ce moment-là que ce ne serait pas suffisant, les caillassages se font de manière cyclique, alternant avec des périodes de calme, on vient d'en avoir la parfaite illustration là", a conclu M. Abdelmalek.
"Le régisseur a aussitôt rappelé tous les bus qui circulaient encore et les conducteurs ont décidé d'exercer leur droit de retrait. Moi-même je vais me rendre au dépôt pour m'assurer qu'aucun bus ne part", a déclaré à l'AFP Ben Abdelmalek, délégué du personnel.
"L'un des bus était pourtant précédé d'un véhicule de police, selon les dispositions prises suite à la visite de Brice Hortefeux (ministre de l'Intérieur, ndlr), mais ça n'a pas empêché le caillassage" a-t-il ajouté.
"Nous avions déjà prévenu à ce moment-là que ce ne serait pas suffisant, les caillassages se font de manière cyclique, alternant avec des périodes de calme, on vient d'en avoir la parfaite illustration là", a conclu M. Abdelmalek.