Cinquante-deux voitures dont le véhicule de la maire de Nantes, Johanna Rolland, ont été incendiés dans la nuit, ainsi que huit bâtiments publics associatifs et commerciaux dont un centre commercial dans le quartier de Doulon-Bottière et une école maternelle.
Quatre personnes ont été interpellées et mises en garde à vue. Elles sont susceptibles d’avoir allumé un incendie ou d’avoir jeté des projectiles sur les forces de l’ordre, précise cette source.
Ces violences se sont produites dans huit quartiers de la ville dont celui du Breil où est mort le jeune automobiliste de 22 ans tué mardi par un tir de policier.
De source policière, on ajoute que beaucoup d’interventions de pompiers ont été sécurisées par les services de police. Aucun pompier n’a été blessé.
C’est la troisième nuit de violences que connaît la ville.
Mardi soir, une centaine de personnes avaient attaqué les forces de l’ordre à coups de projectiles et de cocktails Molotov.
Dans la nuit de mercredi à jeudi, une cinquantaine de véhicules avaient été incendiés et la préfecture de Loire-Atlantique avait fait état de sept feux d’établissements recevant du public, dont une mairie annexe, une bibliothèque et une agence Pôle emploi.
Les autorités ont appelé au calme en attendant de faire la lumière sur les circonstances de la mort du jeune homme.
Le policier à l’origine du tir, a été placé jeudi en garde à vue pour “violences volontaires par personne dépositaire de l’autorité publique”.
Quatre personnes ont été interpellées et mises en garde à vue. Elles sont susceptibles d’avoir allumé un incendie ou d’avoir jeté des projectiles sur les forces de l’ordre, précise cette source.
Ces violences se sont produites dans huit quartiers de la ville dont celui du Breil où est mort le jeune automobiliste de 22 ans tué mardi par un tir de policier.
De source policière, on ajoute que beaucoup d’interventions de pompiers ont été sécurisées par les services de police. Aucun pompier n’a été blessé.
C’est la troisième nuit de violences que connaît la ville.
Mardi soir, une centaine de personnes avaient attaqué les forces de l’ordre à coups de projectiles et de cocktails Molotov.
Dans la nuit de mercredi à jeudi, une cinquantaine de véhicules avaient été incendiés et la préfecture de Loire-Atlantique avait fait état de sept feux d’établissements recevant du public, dont une mairie annexe, une bibliothèque et une agence Pôle emploi.
Les autorités ont appelé au calme en attendant de faire la lumière sur les circonstances de la mort du jeune homme.
Le policier à l’origine du tir, a été placé jeudi en garde à vue pour “violences volontaires par personne dépositaire de l’autorité publique”.