"Je n'aime pas tweeter", a dit M. Trump à l'émission télévisée "Fox and Friends" sur Fox News, qui sera diffusée mercredi. Des extraits de l'entretien ont été publiés mardi soir.
"J'ai d'autres choses à faire. Mais j'ai droit à une couverture médiatique très malhonnête, à une presse très malhonnête. Et c'est la seule manière que j'ai trouvée de réagir", déclare-t-il dans ces extraits.
Depuis sa victoire à l'élection présidentielle en novembre, Donald Trump a utilisé Twitter pour faire des annonces sur la prochaine administration républicaine, peser sur la politique étrangère de son pays mais aussi lancer des piques à quiconque se met en travers de son chemin.
Interrogé pour savoir s'il continuerait à utiliser le réseau lorsqu'il sera président, il a répondu: "oui".
Le week-end dernier, le futur 45e président américain a attaqué dans une série de tweets une icône du mouvement des droits civiques aux Etats-Unis, le représentant démocrate John Lewis. Ce dernier avait fait savoir qu'il n'assisterait pas à la cérémonie d'investiture vendredi estimant que M. Trump n'était pas "un président légitime".
"Le parlementaire John Lewis ferait mieux de passer du temps à s'occuper d'aider sa circonscription, qui est dans une situation terrible et qui se délite (sans parler d'être infestée par le crime) plutôt que de se plaindre à mauvais escient des résultats de l'élection. Paroles, paroles, paroles - pas d'action ni de résultats. Triste!", avait tweeté Donald Trump.
- 'Je ne veux pas de célébrités' -
Dans l'entretien accordé à Fox, Donald Trump poursuit ses critiques contre John Lewis, soulignant que ce dernier avait affirmé n'avoir jamais manqué une investiture présidentielle alors que le bureau du parlementaire avait ensuite reconnu qu'il était absent à celle de George W. Bush en 2001.
"Le voilà donc attrapé et c'est vraiment moche. On va voir ce qu'il va se passer", déclare-t-il.
M. Lewis figure parmi la liste croissante de parlementaires --actuellement une cinquantaine-- qui ont annoncé boycotter la cérémonie d'investiture. M. Trump a estimé que cela permettrait de laisser la place à d'autres.
"En ce qui concerne ceux qui ne viennent pas, c'est très bien, parce que nous avons tellement besoin de sièges", a-t-il dit. "J'espère qu'ils me donneront leurs tickets".
De nombreuses personnalités du spectacle ont également choisi de rester à l'écart, laissant M. Trump devant une difficulté inédite pour trouver des noms illustres afin d'animer la cérémonie.
"Beaucoup de célébrités disent qu'elles ne viennent pas, elles n'ont jamais été invitées", a rétorqué sur Fox le président élu. "Je ne veux pas de célébrités, je veux des gens, et nous avons là les plus grosses célébrités du monde".
A propos des créateurs de mode dont beaucoup, dont Tom Ford, se refusent à habiller son épouse Melania, M. Trump a assuré que sa femme "n'avait jamais rien demandé à Tom Ford, n'aime pas Tom Ford, n'aime pas ses modèles".
"J'ai d'autres choses à faire. Mais j'ai droit à une couverture médiatique très malhonnête, à une presse très malhonnête. Et c'est la seule manière que j'ai trouvée de réagir", déclare-t-il dans ces extraits.
Depuis sa victoire à l'élection présidentielle en novembre, Donald Trump a utilisé Twitter pour faire des annonces sur la prochaine administration républicaine, peser sur la politique étrangère de son pays mais aussi lancer des piques à quiconque se met en travers de son chemin.
Interrogé pour savoir s'il continuerait à utiliser le réseau lorsqu'il sera président, il a répondu: "oui".
Le week-end dernier, le futur 45e président américain a attaqué dans une série de tweets une icône du mouvement des droits civiques aux Etats-Unis, le représentant démocrate John Lewis. Ce dernier avait fait savoir qu'il n'assisterait pas à la cérémonie d'investiture vendredi estimant que M. Trump n'était pas "un président légitime".
"Le parlementaire John Lewis ferait mieux de passer du temps à s'occuper d'aider sa circonscription, qui est dans une situation terrible et qui se délite (sans parler d'être infestée par le crime) plutôt que de se plaindre à mauvais escient des résultats de l'élection. Paroles, paroles, paroles - pas d'action ni de résultats. Triste!", avait tweeté Donald Trump.
- 'Je ne veux pas de célébrités' -
Dans l'entretien accordé à Fox, Donald Trump poursuit ses critiques contre John Lewis, soulignant que ce dernier avait affirmé n'avoir jamais manqué une investiture présidentielle alors que le bureau du parlementaire avait ensuite reconnu qu'il était absent à celle de George W. Bush en 2001.
"Le voilà donc attrapé et c'est vraiment moche. On va voir ce qu'il va se passer", déclare-t-il.
M. Lewis figure parmi la liste croissante de parlementaires --actuellement une cinquantaine-- qui ont annoncé boycotter la cérémonie d'investiture. M. Trump a estimé que cela permettrait de laisser la place à d'autres.
"En ce qui concerne ceux qui ne viennent pas, c'est très bien, parce que nous avons tellement besoin de sièges", a-t-il dit. "J'espère qu'ils me donneront leurs tickets".
De nombreuses personnalités du spectacle ont également choisi de rester à l'écart, laissant M. Trump devant une difficulté inédite pour trouver des noms illustres afin d'animer la cérémonie.
"Beaucoup de célébrités disent qu'elles ne viennent pas, elles n'ont jamais été invitées", a rétorqué sur Fox le président élu. "Je ne veux pas de célébrités, je veux des gens, et nous avons là les plus grosses célébrités du monde".
A propos des créateurs de mode dont beaucoup, dont Tom Ford, se refusent à habiller son épouse Melania, M. Trump a assuré que sa femme "n'avait jamais rien demandé à Tom Ford, n'aime pas Tom Ford, n'aime pas ses modèles".