"Je pense qu'il fait un très bon travail", a lancé M. Trump, interrogé dans le Bureau ovale sur les efforts de ce dernier pour se maintenir au pouvoir après la fin de son deuxième mandat en 2022.
L'ex-chef de l'armée égyptienne a destitué son prédécesseur islamiste Mohamed Morsi en 2013 avant d'être élu à la présidence un an plus tard.
"Les relations entre l'Egypte et les Etats-Unis n'ont jamais été aussi bonnes", a assuré M. Trump, sans mentionner à aucun moment la question des droits humains.
C'est la deuxième fois que l'homme fort du Caire était reçu par M. Trump à la Maison Blanche. Il n'avait jamais été invité par Barack Obama.
Plusieurs amendements à la constitution égyptienne de 2014 doivent être prochainement soumis à référendum. Cette réforme permettrait de renforcer les pouvoir de l'exécutif et de l'armée, et au chef de l'Etat de se maintenir à la tête du pays au-delà de 2022, année de la fin de son deuxième mandat.
Avant la rencontre, l'ONG Human Rights Watch (HRW) avait exhorté les Etats-Unis à ne pas donner leur feu vert à ce projet de réforme constitutionnelle "qui accorde à l'armée des pouvoirs très abusifs et institutionnalise davantage l'autoritarisme".
Amnesty International a également appelé les alliés de l'Egypte, en particulier les Etats-Unis, à ne pas "rester silencieux" face à ce projet.
Pressé de questions par plusieurs sénateurs, lors d'une audition parlementaire, sur l'accueil bienveillant fait au président égyptien malgré les violations des droits humains dans son pays, le chef de la diplomatie américaine Mike Pompeo a estimé que les Egyptiens avaient été "sans aucun doute un partenaire important pour la sécurité", notamment en luttant contre "les menaces terroristes au Sinaï".
"Pour cela, je suis profondément reconnaissant au président Sissi. Il a aussi été remarquable en ce qui concerne la liberté religieuse", a-t-il ajouté, s'attirant de nombreuses critiques de sénateurs démocrates.
L'ex-chef de l'armée égyptienne a destitué son prédécesseur islamiste Mohamed Morsi en 2013 avant d'être élu à la présidence un an plus tard.
"Les relations entre l'Egypte et les Etats-Unis n'ont jamais été aussi bonnes", a assuré M. Trump, sans mentionner à aucun moment la question des droits humains.
C'est la deuxième fois que l'homme fort du Caire était reçu par M. Trump à la Maison Blanche. Il n'avait jamais été invité par Barack Obama.
Plusieurs amendements à la constitution égyptienne de 2014 doivent être prochainement soumis à référendum. Cette réforme permettrait de renforcer les pouvoir de l'exécutif et de l'armée, et au chef de l'Etat de se maintenir à la tête du pays au-delà de 2022, année de la fin de son deuxième mandat.
Avant la rencontre, l'ONG Human Rights Watch (HRW) avait exhorté les Etats-Unis à ne pas donner leur feu vert à ce projet de réforme constitutionnelle "qui accorde à l'armée des pouvoirs très abusifs et institutionnalise davantage l'autoritarisme".
Amnesty International a également appelé les alliés de l'Egypte, en particulier les Etats-Unis, à ne pas "rester silencieux" face à ce projet.
Pressé de questions par plusieurs sénateurs, lors d'une audition parlementaire, sur l'accueil bienveillant fait au président égyptien malgré les violations des droits humains dans son pays, le chef de la diplomatie américaine Mike Pompeo a estimé que les Egyptiens avaient été "sans aucun doute un partenaire important pour la sécurité", notamment en luttant contre "les menaces terroristes au Sinaï".
"Pour cela, je suis profondément reconnaissant au président Sissi. Il a aussi été remarquable en ce qui concerne la liberté religieuse", a-t-il ajouté, s'attirant de nombreuses critiques de sénateurs démocrates.