Le ministre a souligné l’importance des réalisations dans le domaine de l’environnement à Béja, sachant que le taux de raccordement au réseau de l’assainissement a atteint 99% dans le milieu urbain et que six municipalités sur les huit que compte le gouvernorat sont raccordées à des stations d’épuration.
Il a rappelé, en outre, la mise à disposition d’importantes quantités d’eau triplement traitées à exploiter dans des périmètres irrigués et zones forestières,de manière à renforcer la production agricole nationale.
Le ministre a mis en exergue l’intérêt que porte la Tunisie à l’environnement dans le cadre d’une vision globale des droits de l’Homme et de la qualité de vie.
Une approche qui a permis à la Tunisie d’occuper dans ce domaine des rangs avancés sur le plan international et en Afrique.
Après avoir évoqué plusieurs projets environnementaux, dont le projet de traitement des déchets des villes environnantes de l’oued Medjerda, le ministre a appelé à la fermeture des décharges anarchiques directement après la réalisation de décharges contrôlées dans les zones rurales et urbaines dans le but de préserver l’écosystème.
Il est à rappeler que les investissements globaux mobilisés pour l’assainissement, ont atteint, à Béja, 595 millions de dinars, depuis l’avènement du changement, en plus de la programmation de projets d’assainissement d’un cout de plus de 183 millions au profit de la région.
Les participants au conseil ont fait part d’un certain nombre de préoccupations écologiques relatives au traitement des déchets de médicaments, à l’aménagement de l’avenue Kheireddine Pacha à Béja, aux problématiques des décharges de margine, à l’aménagement de certains boulevards de l’environnement et à l’assainissement des entreprises industrielles.
M. Nadhir Hamada a pris connaissance, par ailleurs, d’une étude relative à la déviation de l’oued Bouzagdoum, situé au centre ville de Béja et pour lequel seront mobilisés des investissements de l’ordre de 15 millions de dinars.
Le ministre a également inspecté les activités de l’usine d’engrais organiques de Béja, qui a été construite en 1998 sur une superficie de 14 hectares, d’une capacité de production de l’ordre de 1000 tonnes d’engrais par an et dont la production est écoulée au profit d’entreprises publiques et privées.
Dans la ville de Béja il s’est rendu à la décharge controlée qui s’étend sur une superficie de 25 hectares (ha) et d’une capacité estimée à 20 tonnes par an. Le cout de cette décharge a atteint plus de 866 mille dinars.
Le ministre a également visité le périmètre irrigué de Béja Sud qui couvre 400 hectares et sera alimenté en énergies renouvelables.
Il s’est en outre intéressé à la situation environnementale dans la délégation de Hjar Ammar, à Béja sud, laquelle sera dotée d’équipements pour le transport des déchets jetés de manière anarchique dans cette région dont sera extraite de l’énergie devant servir au chauffage de l’école primaire de Hjar Ammar.
Le ministre a également visité le parc de Jbel Khroufa dans la délégation de Nefza, considéré comme l’un des principaux sites écologiques du gouvernorat.
Ce parc naturel qui s’étend sur 650 hectares sera intégré dans le cadre du circuit de tourisme écologique au vu de ses multiples caractéristiques.
Il est à rappeler qu’un musée écologique a été créé au sein du parc, ce musée sera équipé de composantes additionnelles afin d’assurer l’attraction de touristes en plus de la réalisation d’une unité pour la réintroduction du cheval Barbe dans le parc.
M. Hamada a également pris connaissance des composantes de la station d’épuration de Nefza , entrée en exploitation en 2006 et dont la capacité de traitement est de l’ordre de 1500 m3 d’eaux usées et de 680 kg de dépollution organique par jour.
Il a rappelé, en outre, la mise à disposition d’importantes quantités d’eau triplement traitées à exploiter dans des périmètres irrigués et zones forestières,de manière à renforcer la production agricole nationale.
Le ministre a mis en exergue l’intérêt que porte la Tunisie à l’environnement dans le cadre d’une vision globale des droits de l’Homme et de la qualité de vie.
Une approche qui a permis à la Tunisie d’occuper dans ce domaine des rangs avancés sur le plan international et en Afrique.
Après avoir évoqué plusieurs projets environnementaux, dont le projet de traitement des déchets des villes environnantes de l’oued Medjerda, le ministre a appelé à la fermeture des décharges anarchiques directement après la réalisation de décharges contrôlées dans les zones rurales et urbaines dans le but de préserver l’écosystème.
Il est à rappeler que les investissements globaux mobilisés pour l’assainissement, ont atteint, à Béja, 595 millions de dinars, depuis l’avènement du changement, en plus de la programmation de projets d’assainissement d’un cout de plus de 183 millions au profit de la région.
Les participants au conseil ont fait part d’un certain nombre de préoccupations écologiques relatives au traitement des déchets de médicaments, à l’aménagement de l’avenue Kheireddine Pacha à Béja, aux problématiques des décharges de margine, à l’aménagement de certains boulevards de l’environnement et à l’assainissement des entreprises industrielles.
M. Nadhir Hamada a pris connaissance, par ailleurs, d’une étude relative à la déviation de l’oued Bouzagdoum, situé au centre ville de Béja et pour lequel seront mobilisés des investissements de l’ordre de 15 millions de dinars.
Le ministre a également inspecté les activités de l’usine d’engrais organiques de Béja, qui a été construite en 1998 sur une superficie de 14 hectares, d’une capacité de production de l’ordre de 1000 tonnes d’engrais par an et dont la production est écoulée au profit d’entreprises publiques et privées.
Dans la ville de Béja il s’est rendu à la décharge controlée qui s’étend sur une superficie de 25 hectares (ha) et d’une capacité estimée à 20 tonnes par an. Le cout de cette décharge a atteint plus de 866 mille dinars.
Le ministre a également visité le périmètre irrigué de Béja Sud qui couvre 400 hectares et sera alimenté en énergies renouvelables.
Il s’est en outre intéressé à la situation environnementale dans la délégation de Hjar Ammar, à Béja sud, laquelle sera dotée d’équipements pour le transport des déchets jetés de manière anarchique dans cette région dont sera extraite de l’énergie devant servir au chauffage de l’école primaire de Hjar Ammar.
Le ministre a également visité le parc de Jbel Khroufa dans la délégation de Nefza, considéré comme l’un des principaux sites écologiques du gouvernorat.
Ce parc naturel qui s’étend sur 650 hectares sera intégré dans le cadre du circuit de tourisme écologique au vu de ses multiples caractéristiques.
Il est à rappeler qu’un musée écologique a été créé au sein du parc, ce musée sera équipé de composantes additionnelles afin d’assurer l’attraction de touristes en plus de la réalisation d’une unité pour la réintroduction du cheval Barbe dans le parc.
M. Hamada a également pris connaissance des composantes de la station d’épuration de Nefza , entrée en exploitation en 2006 et dont la capacité de traitement est de l’ordre de 1500 m3 d’eaux usées et de 680 kg de dépollution organique par jour.