
Plusieurs manifestants se sont réfugiés dans la mosquée de la Kasbah et la police pourchassaient certains d'entre eux, a constaté une journaliste de l'AFP.
La manifestation avait commencé pacifiquement à la sortie d'une mosquée au centre de Tunis après le prêche de vendredi.
Hommes et femmes criaient "Allah Akbar" et des slogans hostiles à Nessma, mais à l'approche du siège du gouvernement seul les plus radicaux des manifestants, ont poursuivi le mouvement de protestation tandis que les commerçants fermaient leurs boutiques.
La chaîne Nessma est au centre d'une controverse depuis qu'elle a diffusé le film franco-iranien "Persepolis", dont une scène qui a provoqué la colère, représente Dieu sous les traits d'un vieil homme barbu, alors que l'islam interdit toute représentation divine ou du prophète.
Le PDG de Nessma, Nabil Karoui, a présenté ses excuses au peuple tunisien pour la diffusion de cette scène mais il n'a pas réussi a apaiser la colère des gens et la plupart des prêches de vendredi dans les mosquées de Tunis ont été consacrés à cette affaire.
La manifestation avait commencé pacifiquement à la sortie d'une mosquée au centre de Tunis après le prêche de vendredi.
Hommes et femmes criaient "Allah Akbar" et des slogans hostiles à Nessma, mais à l'approche du siège du gouvernement seul les plus radicaux des manifestants, ont poursuivi le mouvement de protestation tandis que les commerçants fermaient leurs boutiques.
La chaîne Nessma est au centre d'une controverse depuis qu'elle a diffusé le film franco-iranien "Persepolis", dont une scène qui a provoqué la colère, représente Dieu sous les traits d'un vieil homme barbu, alors que l'islam interdit toute représentation divine ou du prophète.
Le PDG de Nessma, Nabil Karoui, a présenté ses excuses au peuple tunisien pour la diffusion de cette scène mais il n'a pas réussi a apaiser la colère des gens et la plupart des prêches de vendredi dans les mosquées de Tunis ont été consacrés à cette affaire.